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4 février 2025 2 04 /02 /février /2025 00:10

AUXONNE : CUBISME D'EN FER DANS LA RUE MARIN (2) - du 04 Février 2025 (Jour 226 de la nouvelle ère de Chantecler)

Dans le précédent et premier article de cette nouvelle série « AUXONNE : CUBISME D'EN FER DANS LA RUE MARIN », nous évoquions, en mots et en images, la dite rue Marin, rue qui s'honore du nom de l'un de ses citoyens les plus prestigieux, Denis Marin (1601-1678).

AUXONNE : CUBISME D'EN FER DANS LA RUE MARIN (1) - du 01 Février 2025

Nous passerons aujourd'hui à une rue très voisine de la rue Marin, tout aussi ancienne et tout aussi centrale : la rue du Bourg.

À la différence de la rue Marin, la rue du Bourg a vu subsister, au cours des deux dernières décennies, la plupart de ses commerces (par permanence ou reprise), même si l'on doit y déplorer toutefois une récente raréfaction des terrasses bien sympathiques à la belle saison.

Ajoutons encore, qu'à la différence de la rue Marin, diverses décorations tracées au sol en blanc (marelle et autres labyrinthes amusant petits et grands) restent à deux dimensions contrairement au récent « cubisme d'en fer » de la rue Marin à trois dimensions. À quand, d'ailleurs, la quatrième ?

La rue du Bourg voit périodiquement l'éclosion de diverses décorations « aériennes » à l'initiative des commerçants qui bruissent dans le vent (les décorations, pas les commerçants!) et font lever le nez aux passants.

On pourrait affirmer sans peine que la rue du Bourg est depuis plusieurs années la Reine du Carnaval des Commerçants !

L'une de ces premières campagnes de décoration « aérienne » avait été remarquée par notre rédaction. Elle devait être malheureusement contrariée, comme l'est hélas trop souvent notre Carnaval, par une météo de printemps humide à pleurer !

Nous l'évoquions dans l'article en lien ci-dessous

CHARMOY-CITY : POISSONS DU BOURG - du 15 MAI 2021

Nos lecteurs curieux, (et ils sont nombreux !) pourront accéder dans cet article à l'image de cette décoration agrémentée de rimes de notre cru.

Mais encore, et surtout, à une documentation détaillée sur la fameuse zone du Charmoy, une des causes de la désertification et de la « disneylandisation » de notre centre-ville devenu salle des pas perdus.

Pour le présent article, nous en reprenons l'illustration

Non sans vous assurer que Claudi vous réserve déjà une illustration originale pour la suite.

À très bientôt donc, après cette escapade « marine » dans la rue du Bourg, pour un retour frétillant dans la rue Marin au cubisme d'en fer !

 

 

Auxonne, mai 2021, poissons dans la rue du Bourg

Auxonne, mai 2021, poissons dans la rue du Bourg

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 04 février 2025 (Jour 226 de la nouvelle ère de Chantecler)

Publié dans Libres réflexions

 

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais
1 février 2025 6 01 /02 /février /2025 00:10

AUXONNE : CUBISME D'EN FER DANS LA RUE MARIN (1) - du 01 Février 2025 (Jour 223 de la nouvelle ère de Chantecler)

Quittons le 39, son Comté et son ours, évoqués dans nos deux derniers articles.

AUXONNE, EMPIRE, CINÉ, « SI LE 39 M'ÉTAIT COMTÉ » (2) - du 29 janvier 2025

Et revenons aujourd'hui en plein cœur historique de notre belle cité dans une rue qui s'honore du nom de l'un de ses citoyens les plus prestigieux, nous avons nommé Denis Marin (1601-1678).

Nous envisageons de rendre hommage à ce glorieux concitoyen dans un épisode ultérieur de cette nouvelle série, dont le nombre d'épisodes n'est pas encore arrêté à ce jour.

Pour l'heure la mémoire de Denis Marin est assez chichement honorée dans sa rue éponyme, au-dessus de la porte d'entrée de sa maison natale. Et ce par une pancarte de bois fatiguée dont le temps a rendu l'inscription peu lisible.

On nous rétorquera : « Au diable toutes ces vieilles lunes ! Il est temps pour Auxonne de faire peau neuve et du passé faire table-rase ! »

Visiblement, nous sommes sur la bonne voie, car en un sens, la chaussée de la rue Marin vient de passer de l'âge de pierre à l'âge de fer !

« Rien que ça : de l'âge de pierre à l'âge de fer Chantecler ! Comme tu y vas ! »

Chantecler témoigne de ce qu'il voit : les vénérables mangeoires de pierre des défuntes écuries de nos régiments de cavalerie qui jalonnaient hier encore la rue Marin et dans lesquels les bégonias et autres végétaux avaient remplacé l'avoine ont été supplantées par des cubes de fer de couleur brune !

Lorsqu'un cinéphile averti (il en est quelques-uns dans notre bonne ville) me répète qu'un émule de Stanley Kubrick du nom de Stainless Kubik tournera bientôt sur ce site un  « Shining » revisité, je doute.

Il a beau ajouter que dans ces cubes de fer de couleur brune on verra par les nuits de pleine lune s'animer des topiaires, monstres patibulaires. Je doute encore.

Ce n'est pourtant pas que notre rédaction manque d'imagination ! Ses états de services en font foi !

"NAPOLEON ET LE CRAYON" PAR CLAUDI HOFFNUNG

Il est pourtant difficile d'imaginer que la presse locale mette bientôt à l'affiche ce titre : « Visite nocturne et bain de minuit au cœur des mystères de la rue Marin ».

Claudi ne s'est pas fatigué aujourd'hui se contentant de vous livrer la nouvelle perspective imprenable sur la rue Marin et son mobilier revisité.

À suivre. Un mien cousin italien alpin à plume m'a déjà proposé un nom pour notre rue Marin : Via ferrata !

C'est vrai qu'il faut s'accrocher !

 

Auxonne, jeu de cubes dans la rue Marin

Auxonne, jeu de cubes dans la rue Marin

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 01 février 2025 (Jour 223 de la nouvelle ère de Chantecler)

Publié dans Libres réflexions

 

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans libres réflexions
29 janvier 2025 3 29 /01 /janvier /2025 00:43

AUXONNE, EMPIRE, CINÉ, « SI LE 39 M'ÉTAIT COMTÉ » (2) - du 29 janvier 2025 (Jour 220 de la nouvelle ère de Chantecler)

 

Nous reprenons aujourd'hui après une courte interruption la suite de nos annales jurassiennes dont la première était largement consacrée au Septième Art.

AUXONNE, EMPIRE, CINÉ, « SI LE 39 M'ÉTAIT COMTÉ » (1) - du 24 janvier 2025

Rappelons que l'« entr'acte » impromptu que nous nous sommes permis entre ces deux épisodes était l'occasion de rendre hommage à JFK récemment disparu.

HOMMAGE-SOUVENIR : JFK, EN VISITE À AUXONNE EN 2016 - du 26 janvier 2025

À cet homme de presse atypique autant que mémorable, permettons-nous d'emprunter cette parole « Les lecteurs sentent quand un journal se fabrique dans la gaieté ».

Pourquoi cet emprunt Chantecler ? Pour oser l'appliquer modestement à notre blog ! Plus enclin au poil à gratter qu'aux propos compassés !

Trêve de discours, revenons-en au 39 !

Mais au fait, pourquoi ce soudain tropisme jurassien Chantecler ?

Il est tout bonnement d'ordre géographique !

N'avez vous pas remarqué ? Auxonne est comme le cul entre deux chaises entre Bourgogne et Franche-Comté ancien style.

Bonaparte, notre impériale référence, n'allait-il pas lui-même à pied porter son pamphlet à son imprimeur dôlois, aller-retour dans la journée !

BONAPARTE À AUXONNE ou le Promeneur Solitaire Corse (12) - du 03 janvier 2018 

Cet imprimeur dolois eut l'occasion à la même époque de rendre visite à Bonaparte, et à son jeune frère Louis, dans leurs locaux aux Casernes. À l'intention de notre ancien maire « impérial » Claude-Nicolas Amanton, il en adressa plus tard par écrit un témoignage oculaire qui vaut bien une visite !

Les vrais mordus d'histoire locale pourront aussi consulter le blog de notre défunte épouse Martine, dont nous assurons la continuité de la mémoire,  et pour lequel nous avions réalisé le précédent PDF pour un article à ce sujet

1791 : Rencontres des frères BONAPARTE avec deux illustres Dolois (1)

Quittons ces lieux d'histoire, l'imprimeur Joly, son papier chiffon, son écriture à la plume, et ses compositions au plomb, pour en revenir aux impressions soft et offset actuelles et à l'hebdomadaire gratuit Hebdo 39.

Non pas avec l'édition Haut-Jura et son ours, mais avec l'édition Jura-Nord du 17 janvier dernier (N°596) couvrant, entre autres, Dole et notre Val de Saône.

Édition fertile en vœux. Si janvier n'est plus depuis longtemps le « mois du blanc », il reste celui des vœux.

Parmi ces vœux, dans l'hebdomadaire gratuit Hebdo 39 édition Jura-Nord du 17 janvier dernier (N°596).ceux de deux maires : le maire de Tavaux et le nôtre...

Vous renvoyant pour plus amples détails à la parution citée, nous n'en retiendrons que les titres … et un petit détail patrimonial

« Tavaux :

Le maire a adressé ses vœux pour 2025

Urbanisme, logement et environnement...Jean-Michel Daubigney, maire de Tavaux a donné le cap de l'année 2025 »

 

« Auxonne :

espérance et pragmatisme pour les vœux de Jacques-François Coiquil

Malgré l'incertitude ambiante, pour sa dernière année pleine de mandat, Jacques-François Coiquil veut rester combatif et poursuivre sa politique d'investissements massifs. Morceaux choisis.

Nous avons assisté aux seuls vœux auxonnais. Le titre tavellois est particulièrement « lisse ». Le titre auxonnais l'est moins...

Son rédacteur semble avoir saisi un « souffle » auxonnais particulier : maire « combatif », « investissements massifs ». Pourquoi pas ?

Mais que vient faire l' « espérance » dans tout cela, un mot que notre maire n'a d'ailleurs pas prononcé.

On comprendra sans peine l'intérêt personnel que je porte au vocable d' « espérance ». Ce mot que l'abbé Graillot prononçait à l'appel du catéchisme en traduisant mon nom, ce nom alors chahuté par des xénophobes bornés.

« Rendons à César, ce qui est à César.. » la vertu d'espérance n'entre pas dans les cases de la gestion pure et dure d'une commune.

Et revenons aux vœux tavellois.... Un petit encart montrant la photo de Notre-Dame de Paris

est titré « du bois Tavellois (sic) dans la charpente de Notre-Dame de Paris »

Rien, toutefois, du côté d'Auxonne, à propos de nos chênes auxonnois...

Pour plus de détails, les curieux pourront consulter. Une série passionnante à plus d'un titre

NOTRE-DAME D'AUXONNE ET DE PARIS (4) - du 17 décembre 2024

Claudi recycle une très poétique illustration à ce propos.

 

 

Des Crochères à Notre-Dame

Des Crochères à Notre-Dame

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 29 janvier 2025 (Jour 220 de la nouvelle ère de Chantecler)

Publié dans Libres réflexions

 

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans libres réflexions
26 janvier 2025 7 26 /01 /janvier /2025 00:10

HOMMAGE-SOUVENIR : JFK, EN VISITE À AUXONNE EN 2016 - du 26 janvier 2025 (Jour 217 de la nouvelle ère de Chantecler)

La disparition d'un maître trublion vient bouleverser le programme de nos publications, et nous oblige à différer la suite de nos annales jurassiennes entamées dans notre précédent article.

AUXONNE, EMPIRE, CINÉ, « SI LE 39 M'ÉTAIT COMTÉ » (1) - du 24 janvier 2025

Annales jurassiennes que nous reprendrons dès notre prochain article !

Dans son numéro daté d'avant-hier relatant la mort du journaliste JFK, Le Monde sous-titrait dans son article nécrologique :

« Journaliste vibrionnant et patron de presse emblématique, « JFK » est mort, mercredi, à l’âge de 86 ans. »

La rédaction de Chantecler n'a jamais caché sa sympathie pour le style de JFK.

Nous en avons noté quelques traits bien sentis dans le corps de l'article du grand quotidien cité plus haut :

« Les lecteurs sentent quand un journal se fabrique dans la gaieté », professait-il, avec un rire à la fois enfantin et tonitruant. »

« Jean-François Kahn s’astreignait à des tournées dans toute la France pour tenir des conférences dans les salles des fêtes de sous-préfectures devant un public qui avait vieilli avec lui, mais était resté fidèle à sa verve, son érudition et sa drôlerie. Cela lui donnait parfois une certaine prescience sur les évolutions du pays... »

Un style en voie de disparition quand l'intelligence rédactionnelle se fait aussi plate et pauvre qu'artificielle !

Voici pour l'actualité.

Quant à notre hommage-souvenir qui suit il est emprunté aux archives de notre blog.

Au printemps 2016, JFK rendait visite à notre ville. Nous avions publié un « papier » à ce propos. Le papier a vieilli depuis. Les puristes et les curieux pourront le rechercher dans les archives de notre blog.

Pour les autres, sans le réécrire, nous le republions ci-dessous allégé et à peine retouché :

« Dans un article intitulé « Auxonne : le MoDem cherche la lumière », Cyrill Bignault rendait compte, dans Le Bien Public du dimanche 15 mai, d’une réunion tenue la veille au caveau du Château Louis XI à Auxonne.

Précédemment, dans Le Bien Public du samedi 14, Bertrand Lhote avait annoncé l’évènement sous le titre : «  Nathalie Griesbeck, visite d’une députée « euroréaliste »».

La conférence se tenait dans le cadre du programme « Mai 2016 Le joli mois de l’Europe en Bourgogne Franche-Comté ». Ce programme, placé, entre autres, sous l’égide de la région Bourgogne Franche-Comté annonçait, dans son dépliant, la conférence en ces termes : 

« L’Union européenne face à la crise des migrants Avec Nathalie Griesbeck, eurodéputée et Jean-François Kahn, journaliste. Château Louis XVI-Prost à Auxonne/Samedi 14 mai 15h »

Rendons à César, ce qui est à César. C’est en fait Château Louis XI qu’il fallait évidemment lire !

De cette conférence-débat, animée avec brio et bonne humeur par le tandem tonique Nathalie Griesbeck/JFK (Jean-François Kahn), autour des défis que doit et devra relever l’institution européenne on pourra garder, c’est selon, deux visions. Ces deux visions sont d’ailleurs bien rendues dans les articles cités plus haut.

La vision d’un débat sans fard autour des défis que le navire Europe, malmené par la tempête, embarquant des paquets d’eau et craquant de toutes ses jointures, doit et devra relever : flux migratoires, Brexit…Vision plutôt présente dans l’article du 14.

La vision d’une grand’messe régionale, opportune et préélectorale, du parti orange réunissant « la crème du MoDem local à Auxonne » mais encore « des conseillers régionaux de droite comme de gauche, mais aussi Dominique Girard, conseiller départemental LR, et Raoul Langlois, maire de la commune sous la même étiquette politique ».

Je peux témoigner, en tant qu’auditeur lambda n'ayant pas assisté au déjeuner des « huiles » mentionné dans l'article cité plus haut, que la tambouille électorale était néanmoins présente lors du débat qui le suivit.

Un débat proprement européen, jetant ses lumières tant sur les petitesses technocratico-bureaucratiques de l’institution, que sur l’ampleur de ses dangers d’éclatement, ainsi que sur la nécessité de sa survie dans l’intérêt d’un-demi milliard d’Européens. « Quo vadis ?» « Où-vas-tu ? ». C’est ainsi que Nathalie Griesbeck a résumé les questions posées à l’institution, dont elle est une élue et une fervente partisane.

Un débat impossible à résumer en peu de mots, mais qui ne manquait pas d’intérêt, ni d’ailleurs de truculence et qui, hors du personnel politique, a été fort peu suivi par nos concitoyen(ne)s. Dommage !

En fin de débat nos deux conférenciers, sur le mode gastronomique, nous ont offert une vision glaçante d’un monde robotisé et déshumanisé.

Celle d'une « blanquette de veau à l’ancienne » offerte dans le tiroir du distributeur automatique alimentaire d’une station-service déserte, quelque part du côté de Saint-Dizier.

Visiblement, pour nos deux conférenciers en mal de casse-croûte, un soir que tout était fermé, cette mésaventure restera le summum de l’horreur alimentaire ! Pour JFK en particulier !

Il nous a même fait cette confidence après la réunion : pas plus que la « blanquette de veau à l’ancienne » du distributeur automatique alimentaire de Saint-Dizier JFK n’affectionne la grande distribution… à dominante alimentaire ! »

« Grande distribution… à dominante alimentaire » sujet qui mettait justement en grande opposition, en 2016, Chantecler et notre maire d'alors.

Et qui a contribué, depuis, à conférer au centre de notre bonne ville cette activité commerciale, restauratrice et hôtelière si particulière !

Claudi a repris son illustration de 2016 en se contentant de la légender à nouveaux frais.

Beaucoup de Modem et d'orange voilà de quoi complaire à notre actuel Premier Ministre !

 

 

Auxonne, Adieu JFK, tu nous manqueras au Caveau

Auxonne, Adieu JFK, tu nous manqueras au Caveau

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 26 janvier 2025 (Jour 217 de la nouvelle ère de Chantecler)

Publié dans Libres hommages

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Libres hommages
24 janvier 2025 5 24 /01 /janvier /2025 00:10

AUXONNE, EMPIRE, CINÉ, « SI LE 39 M'ÉTAIT COMTÉ » (1) - du 24 janvier 2025 (Jour 215 de la nouvelle ère de Chantecler)

En ces temps agités où les nautonniers qui gouvernent le monde ont la boussole qui s'affole et du mal à maintenir le cap, Chantecler n'est pas épargné et saute volontiers du coq à l'âne.

Nous étions il y a peu en Amérique...

D'AUXONNE À L'AMÉRIQUE, COÏNCIDENCES CALENDAIRES ET AUTRES (1) - du 20 janvier 2025

Nous voici à présent dans le 39, dans le Jura si vous préférez ! Mais nous ne désespérons pas de revenir plus tard en Amérique...

Le présent article abordant un thème cinématographique, l'expression « Si le 39 m'était Comté » est évidemment une référence, toutes les têtes chenues l'auront compris, à la grande fresque cinématographique de Sacha Guitry « Si Versailles m'était conté », film de 1955 qui fit un tabac, il y a bien des lustres, au cinéma l'Aiglon.

Les lecteurs attentifs n'auront pas manqué de noter en outre dans notre titre « Si le 39 m'était Comté », une concession de notre rédaction à l'incontournable « jeudemotisme », véritable despotisme culturel qui s'impose de nos jours dans les sphères médiatiques, des plus populaires aux plus diplômées.

Passons au fait. Dimanche dernier, le film « Un ours dans le Jura » était au programme de la séance de 17h30.

De ce film, l'édition « Haut-Jura » du gratuit Hebdo 39 fait d'ailleurs une mention discrète dans son édition du 19 janvier dernier sous la plume de Guy Monneret dans un article titré

« Haut-Jura. Collège du Plateau : le principal du collège joue dans le film «Vingt Dieux» »

On peut y lire :

«Le cinéma «Made in Jura» bat son plein depuis quelques mois.En effet entre les films des frères Larrieu, tiré du roman de Pierric Bailly écrivain jurassien «Le Roman de Jim»,  et le film de Franck Dubosc «Un Ours dans le Jura» [N.D.L.R. Chantecler, c'est nous qui soulignons], tournés aussi dans notre département, il y a «Vingt Dieux» de Louise Courvoisier, qui trace aussi magnifiquement son sillon.

Ce dernier porte un regard tendre sur la jeunesse rurale. Et le casting a été pour la plupart des acteurs, composé d’amateurs, de gens du coin, qui n’avaient aucune expérience dans le 7ème Art.  Cette fraîcheur ou inconscience d’individus neufs, naturels donne une force et une vérité au film de la réalisatrice jurassienne. »

Arrêtons notre revue de presse jurassienne avec «Vingt Dieux» et revenons à Auxonne et à nos moutons.

Dimanche dernier, donc, le film « Un ours dans le Jura » était au programme de la séance de 17h30 à « L'Empire. Malgré notre appétance très modérée pour les films comiques et la météo peu clémente, le spleen d'un après-midi de dimanche solitaire nous a poussé vers « L'Empire » où une longue queue nous accueillit.

Pas une queue d'ours ! Une queue de spectateurs ! Attente, accès à la billetterie, entrée dans une salle bondée....

Comme à Waterloo, pas question de reculer ! Nous prenons l'allée latérale à droite et descendons en quête d'une dent creuse... Nib de nib !

Au deux tiers de notre parcours, une dame portant masque hygiénique nous fait de grands signes et nous appelle à prendre place en plein milieu du rang dans une unique place libre couverte d'effets que l'on dégage. Quel plaisir d'être ainsi invité par une inconnue ! Qui sait ? En raison peut-être de la fourrure de couleur brune ursine qu'en raison du froid et du fun, j'avais revêtue ce soir là !?

Croyez-moi, bien flanqué de francs rieurs et rieuses, ma peau d'ours sur les genoux, je ne pouvais prendre froid ni au corps ni au cœur !

Et le film alors ? Assez peu complexé, je l'ai apprécié ! Je ne suis pas certain pourtant qu'il en ait été ainsi pour toute l'assistance.

Je retrouvais l'excellent Benoît Poelvoorde que je venais de découvrir dans L'Amour ouf et je ne pouvais m'empêcher aussi de retrouver dans les « aménités » du major de gendarmerie jurassien dont il tenait le rôle, le pragmatisme du truand dunkerquois vieillissant, dont il tenait le rôle dans L'Amour ouf

Si le miel est censé attirer l'ours (медведь, medved', textuellement « mangeur de miel » en russe) comme le démontre la famille du marchand de sapins (rôle tenu par le réalisateur Franck Dubosc), les grosses coupures providentielles en euros attirent pour le coup dans le film toutes les notabilités du bourg et au-delà.

Tout parallèle avec l'état présent des vieilles valeurs de notre France profonde est bien entendu à proscrire !

Claudi, comme d'habitude a bien travaillé !

À se revoir bientôt, dans le 39 et/ou Hebdo 39 !

 

Auxonne, à l'Empire, un ours du côté des Rousses

Auxonne, à l'Empire, un ours du côté des Rousses

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 24 janvier 2025 (Jour 215 de la nouvelle ère de Chantecler)

Publié dans Côté cinéma

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Côté Cinéma
20 janvier 2025 1 20 /01 /janvier /2025 01:33

D'AUXONNE À L'AMÉRIQUE, COÏNCIDENCES CALENDAIRES ET AUTRES (1) - du 20 janvier 2025 (Jour 211 de la nouvelle ère de Chantecler)

En parlant de « coïncidences calendaires », à l'heure où la mode dans le langage est au débraillé, Chantecler ne craint pas de paraître collet monté. Une coïncidence calendaire ce n'est après tout qu'un hasard du calendrier !

Dans le cours de cette deuxième décade de janvier, à l'échelle planétaire, en dépit des divers calendriers, chaque jour aura vu des myriades d'élus formuler leurs vœux en simultané.

Ce jour du 20 janvier, pour un certain nombre de communes de France, de l'ordre de quelques centaines, dont la nôtre, devrait toutefois se produire une coïncidence calendaire moins banale cette fois, en matière d'histoire passée ou encore à écrire.

Celle du 20 janvier 1793, vote de la mort du roi Louis XVI et du 20 janvier 2025 jour d'investiture de Donald TRUMP, l'exact contemporain de votre rédacteur préféré né en 1946, qui promet, même sans guillotine, des changements radicaux autant que drastiques.

Rappelons qu'Auxonne est une des communes de France directement concernées par le vote du 20 janvier 1793 puisque l'un de ses natifs, Claude-Antoine PRIEUR (1763-1832), largement cité dans ce blog, est au nombre des 361 conventionnels « régicides » ayant voté la mort du Roi. Tout comme Lazare CARNOT (1753-1823), natif de Nolay et, comme Prieur, officier du Génie sorti de l' École de Mézières.

CHARMOY-CITY : LA MAISON NATALE DE CLAUDE-ANTOINE PRIEUR À LA UNE - du 28 NOVEMBRE  2019 

Chacun connaît plus ou moins les conséquences du vote du 20 janvier 1793 qui finalement devaient conduire de la Monarchie à l'Empire et qui du coup ont conféré, au cours des dernières années, une vocation touristique particulière à notre ville.

Ville qui cumule ces parricularités d'être le berceau d'un régicide dont notre lycée porte le nom et école d'un empereur dont les murs vénérables qui l'ont vu portent encore le nom.

Votre serviteur qui fréquenta longuement l'un et l'autre de ces bâtiments ne pouvait ignorer cela.

Mais au fait, si l'on sait à quoi était occupé PRIEUR ce jour-là, où était Bonaparte le 20 janvier 1793 ? 

Il était en Corse et en situation délicate. Nous n'en dirons pas plus.

L'illustration du jour de Claudi opère un rapprochement audacieux entre le 20 janvier 1793, jour du vote de mort du roi Louis XVI qui donna, au cours de son règne un sérieux coup de pouce à la jeune Amérique et ce 20 janvier 2025, jour d'investiture de Donald TRUMP.

Nous la diffusons en version PDF à l'intention de nos nombreux lecteurs

Notre série « D'AUXONNE À L'AMÉRIQUE, COÏNCIDENCES CALENDAIRES ET AUTRES » devrait comporter un second épisode mettant en lumière d'autres correspondances étonnantes entre l'Ancien et le Nouveau monde...

À bientôt !

 

D'Auxonne à l'Amérique, coïncidences calendaires

D'Auxonne à l'Amérique, coïncidences calendaires

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 20 janvier 2025 (Jour 211 de la nouvelle ère de Chantecler)

Publié dans Libres réflexions

 

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais
15 janvier 2025 3 15 /01 /janvier /2025 01:00

AUXONNE, L'EMPIRE, DU CIEL À L'ENFER (2) - du 15 janvier 2025 (Jour 206 de la nouvelle ère de Chantecler)

Le ciel, avec le film SAINT-EX, constituait le thème du premier article de notre première série de la catégorie « Côté cinéma » pour cette nouvelle année 2025

AUXONNE, L'EMPIRE, DU CIEL À L'ENFER (1) - du 11 janvier 2025

Le présent article en sera le second, avec l'enfer cette fois, et le film « HERETIC ».

Nous entendons déjà siffler les mauvaises langues : « Et le Purgatoire alors ? »

Et nous y répondons : sans besoin d'aller au cinéma l'année 2025 qui s'ouvre pourrait bien nous faire vivre un véritable purgatoire politique économique et social en live. Ceci à n'en pas douter à en juger par le casting des acteurs politico-économiques et les scénarios possibles, tant au plan national qu'à l'international.

Et au plan local alors ? Me rétorquera-t-on encore...

Nous fondant sur la presse locale, nous ferons référence au titre du Bien public du 12 courant relatant la traditionnelle cérémonie des vœux de notre premier édile : « Jacques-François Coiquil : « 2025 sera l'année de l'inauguration » 

Quittons l'écran de projection de la Salle L'Empire, les projets et les bilans de Monsieur le Maire, pour en revenir à l'écran du Cinéma L'Empire et à ses mondes imaginaires.

Pas plus qu'il ne s'autoriserait à commenter ces bilans, votre serviteur ne se prétend critique de cinéma. Il avoue pourtant simplement avoir gardé de ses jeunes années un goût spontané du septième art et des salles obscures comme il le rappelait déjà dans un précédent article.

NOTRE-DAME D'AUXONNE ET DE PARIS (2) - du 10 décembre 2024

Arnaud Desplechin va nous aider à traduire et exprimer cette « naïveté cinématographique » qui meuble agréablement nos soirées d'hiver en solitaire. L'auteur s'exprimait récemment dans l'émission Les Midis de Culture autour de son dernier film intitulé « SPECTATEURS ».

À ce propos il déclarait faire siens les arguments de Dedalus, jeune personnage masculin du film, moqué par ses copines pour aller voir le même film plusieurs fois de façon rapprochée.

Je vous livre ces arguments de Dedalus en faveur de sa manie d 'aller voir de façon répétée le même film : « La première fois pour découvrir, la seconde pour admirer et le troisième pour comprendre ».

Comme Desplechin, je les fais miens ! Ce que me permettent par ailleurs les tarifs modiques de notre cinéma !

Je n'ai vu HERETIC que deux fois, la première en VF, la seconde en VO. Si je n'ai pas à proprement parler « admiré », j'ai tenté pour le moins de « comprendre ».

Hors des savantes références je vous livrerai simplement quelques images et impressions retenues dans l'ordre chronologique.

Deux jeunes mormones Sister PAXTON et Sister BARNES sont assises sur le banc d'une petite ville au ciel gris quelque part en Amérique. Derrière elles, appuyées au dos du banc, leurs bicyclettes. Nos mormones parlent de...préservatifs ! La caméra nous en donne l'explication, en nous montrant derrière elles, avec leurs vélos, étalée sur le dos du banc, une grande publicité de préservatif masculin !

Passée cette introduction décoiffante on va voir nos deux mormones à l'action. Devant elles de nombreux escaliers à monter vers la partie supérieure de la ville que domine une montagne nimbée de nuées annonciatrices de déluges. Le film est particulièrement pluvieux, voire aqueux.

Leurs bicyclettes en main, on les voit de loin monter les escaliers vers un paradis plus qu'hypothétique...

Auxonne heretic à l'Empire, les escaliers

Auxonne heretic à l'Empire, les escaliers

Parvenues dans la ville haute elles vaquent à leurs occupations de prospection non sans essuyer les quolibets d'une bande de filles leur demandant si elles portent des sous- vêtements magiques ! L'une d'elles, joignant le geste à la parole va jusqu'à tirer en bas la jupe d'une des Sisters !

Quelque peu dépitées, sous un ciel toujours plus gris, nos mormones redescendent, vélos en main, les escaliers.... vers l'enfer qui les attend. Consultant au passage, sur leurs portables, les adresses des « clients » à visiter.

Dans la ville basse l'averse se déclenche. Nos mormones cherchent la maison d'un certain Mister REED qui a sollicité leur visite. Une villa au fond d'un jardin touffu derrière des grilles. La pluie redoublant, les deux jeunes filles attachent leurs bicyclettes à ces grilles à l'aide d'un anti-vol rouge qui aura une grande importance dans la suite de l'histoire.

Les deux jeunes filles sonnent à l'entrée de la maison. Les hôtes de celle-ci se font attendre....Finalement, l'élégant Mister REED, sexagénaire souriant au discours exquis, vient ouvrir et accueille les deux jeunes mormones. Et pour elles, telles des papillons égarés enfermés derrière la vitre d'une maison refermée, va commencer, après les escaliers, la partie proprement lugubre et infernale de leur descente...

Inutile à présent de spoiler, ce qui serait d'ailleurs bien compliqué !

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 15 janvier 2025 (Jour 206 de la nouvelle ère de Chantecler)

Publié dans Côté cinéma

 

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Côté Cinéma
11 janvier 2025 6 11 /01 /janvier /2025 00:30

AUXONNE, L'EMPIRE, DU CIEL À L'ENFER (1) - du 11 janvier 2025 (Jour 202 de la nouvelle ère de Chantecler)

Mercredi dernier, 8 janvier, nous faisions brièvement mémoire des attentats de Charlie.

AUXONNE, DIX ANS APRÈS CHARLIE, CHANTECLER SE SOUVIENT  - du 08 janvier 2025

Ce même 8 janvier était aussi pour nous un jour de bonheur, celui de la réouverture du Cinéma L'Empire après la trêve des confiseurs. Quel bonheur de retrouver l'écran, fenêtre ouverte sur l'imaginaire quand la réalité de nos rues est si peu excitante en ces temps !

L'Empire de notre titre n'est ni le premier, ni le second du même nom, mais tout simplement l'enseigne de notre cinéma municipal dont le programme des deux premières soirées, après le Purgatoire de la trêve des confiseurs, devait nous conduire successivement du Ciel à l'Enfer. En bref, un programme dantesque !

Dans ce premier volet de notre série nous monterons au Ciel avec « SAINT-EX » avant de descendre en Enfer dans le second avec « HERETIC ».

« SAINT-EX » n'est pas, contrairement à ce qui a pu être dit un biopic retraçant la vie d'Antoine de SAINT-EXUPÉRY (1900-1944).

C'est en fait une très libre illustration d'un épisode de la carrière de pilote de SAINT-EXUPÉRY (« Saint-Ex ») dans l'Aéropostale en Amérique du sud à la charnière des années 1920-30. Le film évoque en particulier les relations entre « Saint-Ex » et  Henri GUILLAUMET (1902-1940).

GUILLAUMET devait être l'initiateur de « Saint-Ex » aux rites spartiates des pilotes de la compagnie. Fait dont SAINT-EXUPÉRY témoignera dans son célèbre ouvrage Terre des hommes (1939) imprégné d'une morale selon laquelle le devoir et l'abnégation humaine doivent primer sur l'individualisme.

La rigueur de ces principes moraux est-elle bien rendue par le film ? On peut s'interroger sur ce point. Mais un film n'est-il pas avant tout constitué d'images ?

Et quoique le beau Louis GARREL entre à vrai dire plutôt mal dans la peau du vrai SAINT-EXUPÉRY, il n'est pas interdit de se laisser emporter par la beauté des images. Quant à Vincent CASSEL incarnant GUILLAUMET, on doit reconnaître qu'en dépit de son âge, double de celui du vrai GUILLAUMET, il tient plutôt bien la route à travers la Cordillère.

Quelques figures féminines viennent par bonheur éclairer et adoucir cette idylle essentiellement masculine. Finalement, à défaut d'être intellectuel et puriste, le film se laisse regarder et la séance passe comme une lettre à la poste. N'est-ce pas, tout compte fait, le but de la manœuvre ?

Mais au fait, Savez vous que Bonaparte avait un aviateur ? Voilà un beau sujet de film !

Je ne plaisante pas. Il y a presque un siècle de cela, au temps où les débuts de l'aviation passionnaient la jeunesse, les éditions Hachette publiaient justement, pour la jeunesse, un ouvrage de Jean d'Agraives intitulé L'aviateur de Bonaparte.

Le livre a d'ailleurs été réédité en 2008.

Nous donnons en PDF un extrait de l'édition originale dont la lecture peut être intéressante, tant pour les amateurs d'histoire napoléonienne que d'aviation française au Maroc, thème qui nous ramène à SAINT-EXUPÉRY.

Claudi a choisi comme illustration du jour un portrait en situation du vrai « SAINT-EX » et de son Latécoère.

Pour les amateurs, enfin, notre dernière critique cinématographique en lien

CONTES BONAPARTIQUES, DE NOËL À L'ÉPIPHANIE (3) - du 30 décembre 2024

Auxonne, Saint-Ex à l'Empire

Auxonne, Saint-Ex à l'Empire

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 11 janvier 2025 (Jour 202 de la nouvelle ère de Chantecler)

Publié dans Côté cinéma

 

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Côté Cinéma
8 janvier 2025 3 08 /01 /janvier /2025 00:42

AUXONNE, DIX ANS APRÈS CHARLIE, CHANTECLER SE SOUVIENT  - du 08 janvier 2025 (Jour 199 de la nouvelle ère de Chantecler)

Chantecler est né en juin 2010. C'est à présent un vieux coq que d'aucuns ont bien souvent rêvé de mettre au vin... Fort heureusement en vain !

Il brandit toujours sa devise empruntée au coq Chantecler d'Edmond Rostand : « Et si de tous les chants/ Mon chant est le plus clair/C'est que je chante clair/Afin qu'il fasse clair !»

Chantecler tout comme Charlie, mais à l'échelle microscopique du Val de Saône porte à l'occasion la lumière sur des sujets qui fâchent. Il encense rarement les pouvoirs en place et a parfois l'heur de déplaîre à certains personnages en lumière, je dirai même plus en son et lumière...

S'il parle volontiers d'histoire c'est bien souvent pour stigmatiser en miroir les travers de notre temps.

Il laisse en plan ses « contes bonapartiques » qui ont meublé sa trêve des confiseurs....

CONTES BONAPARTIQUES, DE NOËL À L'ÉPIPHANIE (4) - du 05 janvier 2025

Et ce pour revenir opportunément sur une sélection de ses productions de janvier 2015, que, dirons-nous à la manière d'Aznavour, « les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître ».

Productions originales liées aux attentats de Charlie parmi lesquelles les fans de l'Empereur trouveront quand même à faire leur beurre. Faut l'faire !

Nous livrons cette sélection, brute de décoffrage, en lien, et sans commentaires superflus. De quoi occuper vos soirées galette, chers lecteurs !

 

BOULEVARD VOLTAIRE- du 11 JANVIER 2015

LE K DE L’ADJUDANT KRONEMBOURG - du 12 JANVIER 2015

CRAYONS DE GUERRE - du 16 JANVIER 2015

"Napoleon et le crayon" par Claudi Hoffnung

Il restait à Claudi à produire l'incontournable illustration originale du jour, qu'il vous offre en PDF pour votre confort

 

11 janvier 2015, quand l'adjudant  KRONEMBOURG devient Charlie

11 janvier 2015, quand l'adjudant KRONEMBOURG devient Charlie

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 08 janvier 2025 (Jour 199 de la nouvelle ère de Chantecler)

Publié dans Lieux de mémoire

 

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Lieux de mémoire
5 janvier 2025 7 05 /01 /janvier /2025 01:00

CONTES BONAPARTIQUES, DE NOËL À L'ÉPIPHANIE (4) - du 05 janvier 2025 (Jour 196 de la nouvelle ère de Chantecler)

En ce jour de l'Épiphanie, nous reprenons et terminons notre série « CONTES BONAPARTIQUES, DE NOËL À L'ÉPIPHANIE » que nous avions interrompue pour vous présenter nos meilleurs vœux de bonne année.

LES VŒUX DE CHANTECLER POUR 2025 - du 02 janvier 2025

Un petit mot d'abord à propos de l'Épiphanie avant d'aborder le conte que nous vous proposons aujourd'hui et dont l'auteur est, comme pour le premier, G.Lenotre.

L'Épiphanie, fête religieuse de la tradition chrétienne se situe douze jours après Noël (le 7 janvier de notre calendrier) et se fête le dimanche le plus proche de cette date, en l'occurence cette année aujourd'hui dimanche 5 janvier.

C'est le jour où les rois mages guidés par une étoile apparue dans le ciel à Noël arrivent, chargés de présents, auprès du Divin Enfant.

L'Étoile est donc un élément indispensable d'un conte pour l'Épiphanie et la présence de Bonaparte aussi pour que ce conte puisse être qualifié de « bonapartique ».

Pas de problème ! Dans l'oeuvre très riche de G.Lenotre on trouve cet article en rayon !

Ce conte de G.Lenotre a visiblement été apprécié par la presse catholique du début du vingtième siècle puisqu'il était diffusé par « Le Pélerin » le dimanche de l'Épiphanie 1902.

La rédaction de Chantecler l'offre en PDF et en guise de galette des rois à ses bienveillants lecteurs. Une occasion de crier encore une fois : « Vive l'Empereur ! » pour les vrais amateurs...

Claudi quant à lui, a tenu à mettre en couleurs l'image un peu austère du « Pélerin », il vous l'offre en image du jour !

Deux Noëls de légende pour le futur Empereur

Deux Noëls de légende pour le futur Empereur

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 05 janvier 2025 (Jour 196 de la nouvelle ère de Chantecler)

Publié dans Contes et légendes

 

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais