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  • Claude Speranza, Auxonnais
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15 décembre 2022 4 15 /12 /décembre /2022 10:06

CHANTECLER, LE CHARMOY, LA COUPE ET LE FOOT - du 15 décembre 2022 (J+5111 après le vote négatif fondateur)

D'aucuns prétendent que Chantecler parle trop de Napoléon, de son polygone et de ses épigones. Ils ont sans doute raison !

Après l'histoire napoléonienne, un peu d'histoire de notre blog, si vous le voulez bien chers lecteurs !  

Chantecler naquit en juin 2010 et pendant des années son sujet principal fut l'histoire longue, abracadabrantesque et inénarrable de l'avènement d'un hypermarché au Charmoy. Un très long match baroud d'honneur entre le coq Chantecler de notre blog et le pack Leclerc-municipalités Langlois.

Nous parlions peu alors de l'Empereur, mais nous en parlions quand même comme nous le verrons dans un prochain article...

Nous parlions aussi de foot, surtout en temps de Coupe !

Certes, dans le fond de nos campagnes, les Taquinauds ne regardaient pas encore France-Maroc sur grand écran assis, sans doute sur des banlib', comme c'était le cas hier soir...On n'arrête pas le progrès

Moins innovante, notre rédaction vous propose aujourd'hui un petit retour en arrière vers nos archives, pour une petite pause foot sur la pelouse du Charmoy.

BRASIL - du 12 JUIN 2014

FUTEBOL, BINETTES ET GONDOLES - du 23 JUIN 2014

ALTERNATIVE - du 06 MARS 2015

Nos lecteurs les plus pressés pourront se contenter de regarder les illustrations. Les plus curieux pourront relire les textes dont les thèmes, à part le foot, ainsi que les acteurs ont vieilli depuis... Sic transit...

L'illustration du jour est une reprise de celle du texte « ALTERNATIVE » du 6 mars 2015. Les vieux Auxonnais reconnaîtront sans doute l'arbitre qui depuis a mis le sifflet au rancard.

 

Charmoy vers un terrain de foot synté

Charmoy vers un terrain de foot synté

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 15 décembre 2022 (J+5111 après le vote négatif fondateur)

Publié dans Histoire et sport

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans histoire et sport
12 décembre 2022 1 12 /12 /décembre /2022 09:41

TILSIT SUR LE VANNOIS OU LA COLOMBIÈRE DE LA PAIX - du 12 décembre 2022 (J+5108 après le vote négatif fondateur)

« Voilà un titre pour le moins énigmatique ! » s'exclameront encore tous les Tartanpions !

Pas tant que ça ! Il est tout bonnement à la mesure de la culture et de l'intérêt de nos bons lecteurs.

Toutefois, afin éviter d'inutiles conjectures nous en donnerons en bref la clef (Non ! Pas la clef du Champ de tir de la Colombière, pépère !)

Tilsit c'est un traité de paix signé le 7 juillet 1807 (07/07/07) entre deux premiers de la classe, l'un français et l'autre russe, Napoléon Ier et Alexandre Ier, sur une île du fleuve Niemen.

Le Vannois c'est le ruisseau qui arrose la Colombière, quartier périphérique de notre bonne ville.

Quant à la paix, elle clôt le titre pour rimer avec Tilsit.

Tilsit ! C'est donc sur un fait napoléonien que s'ouvre notre titre du jour et, pour rester dans la bonne note, nous mettrons nos pas, pour la suite, dans les traces de la grande armée napoléonienne, d'hier et.... d'aujourd'hui !

Car il existe encore aujourd'hui une grande armée napoléonienne !?

Certes, comme disait l'autre il vaut mieux préférer l'original à la copie, mais ce n'est pas toujours possible !

Pendant une dizaine de jours, la page facebook de notre bonne ville n'aura cessé de battre le rappel pour un apéritif littéraire, impérial autant que militaire devant se dérouler le 9 décembre dernier.

Alors sans complexe, votre serviteur à tout bonnement répondu présent à l'appel.

Il ne neigeait pas encore, on n'était pas encore vaincu par sa conquête et l'aigle ne baissait pas vraiment la tête. L'assistance était rare toutefois, une petite dizaine, intervenants compris. Mais la rareté n'est-elle pas un critère de qualité ! Pas vrai Marie ?!

L'auteur-conférencier ainsi que votre serviteur constituaient les seuls représentants de la gent masculine. À noter en passant qu'aucun(e) représentant(e) de la municipalité n'honorait l'évènement de sa présence.

Et ce, à la différence du « remue-méninges » du 6 octobre dernier dont nous gardons le souvenir doublement pénible d'un déroulement besogneux, fastidieux autant que houleux.

Déroulement qui devait nous inspirer une conférence gratuite en réponse à ce dispendieux prétendu « remue-méninges ».

AUXONNE : DÉFENSE ET ILLUSTRATION DE CLAUDE-XAVIER GIRAULT - du 21 novembre 2022

Notre hôtesse, la sympathique bibliothécaire de la bibliothèque Xavier-Girault, en déplacement provisoire à la Colombière pendant travaux, a visiblement bien conduit la soirée.

Votre serviteur gardera en particulier le bon souvenir de la poignée de main échangée avec le conférencier lors de l'apéritif final, entre brochette de carrés de Comté et verre de jus de pomme, qui devait conclure l'exercice.

Voilà toute l'histoire de notre Tilsit sur Vannois et de la Colombière de la Paix. Elle est de celles dont la simplicité et la franchise devraient réjouir tous nos lecteurs de bonne volonté.

Les pessimistes nous diront... Tilsit n'empêcha pas 1812 !

Pour changer du Niemen et du Vannois, Claudi nous conduit aujourd'hui sur les bords du Rhin au cours de l'été 1870. Pourquoi pas ?

2023 s'annonce en effet comme l' « année Napoléon III » (150ème anniversaire de sa mort en 1873) !

L'illustration de Claudi représente donc un sujet résolument napoléonien tout prêt pour l'année 2023. Certes pour la Paix , il faudra repasser par Versailles ! Mais au fait, Versailles est-elle, comme Auxonne, une ville impériale ?

 

La mauvaise querelle qui fit tomber le Second Empire

La mauvaise querelle qui fit tomber le Second Empire

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 12 décembre 2022 (J+5108 après le vote négatif fondateur)

Publié dans Visions d'histoire


 

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Visions d'histoire
9 décembre 2022 5 09 /12 /décembre /2022 02:00

EN PIED À AUXONNE, À CHEVAL À DOLE, REPRÉSENTATIONS IMPÉRIALES - du 09 décembre 2022 (J+5105 après le vote négatif fondateur)

Dans notre précédent article, nous évoquions en bref l'inauguration, le 20 décembre 1857, de la statue en pied de Napoléon Bonaparte sur la Place d'Armes d'Auxonne.

AUXONNE IMPÉRIALE 1857, LA STATUE, LE MAIRE ET LA ROSETTE - du 06 décembre 2022

Le 165ème anniversaire de cet événement s'avance donc à grands pas !

Par précaution, réservez donc dès maintenant la date sur votre agenda, comme vous avez sans doute réservée celle d'aujourd'hui.

Qui sait, en effet, bonnes gens de bon ton, si les facebook des officines auxonnaises napobranchées ne vous convieront pas pour l'occasion au pied de la statue avec un vin chaud à la clef à siroter au garde-à-vous, puis à genoux, en écoutant religieusement l'Ajaccienne avec le grand frisson...

https://www.youtube.com/watch?v=KTOLG42YNEY

Revenons à présent à l'histoire et à l'année 1857. En cette même année 1857, la patrie de Pasteur, en matière de statuaire napoléonienne ne voulait pas être en reste.

Si l'on en croit du moins l'Album dolois du 6 septembre 1857 que notre rédaction permet aujourd'hui à ses fidèles lecteurs, tant auxonnais que dolois, de découvrir.

Au bout du compte, le projet de statue équestre doloise ne vit jamais le jour, de cela nous reparlerons encore si notre actualité auxonnaise nous en laisse le temps.

Dernièrement, bizarrerie de l'histoire, ce rêve de statue non réalisé devait opinément resurgir en miniature dans un article de la Voix du Jura du 24 novembre dernier en page 39. Pour plus de détails, voir notre article en lien ci-dessous.

DOLE ET BONAPARTE : DES LIENS PLUS QUE TÉNUS - du 26 novembre 2022

Soucieux de ne pas lasser nos amis lecteurs, nous nous en tiendrons là, laissant à Claudi le soin d'illustrer au mieux notre propos équestre.

 

POST SCRIPTUM DU JOUR

(trouvé dans une papillotte impériale à deux balles (à blanc))

«  Le must des grandeurs et servitudes militaires :

Bien promouvoir son apéritif littéraire »

 

 

Vous ne les trouverez pas dans un tabac dolois

Vous ne les trouverez pas dans un tabac dolois

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 9 décembre 2022 (J+5105 après le vote négatif fondateur)

Publié dans Glyptothèque impériale


 

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Glyptothèque impériale
6 décembre 2022 2 06 /12 /décembre /2022 05:00

AUXONNE IMPÉRIALE 1857, LA STATUE, LE MAIRE ET LA ROSETTE - du 06 décembre 2022 (J+5102 après le vote négatif fondateur)

    Nous abandonnons pour quelque temps notre série « DE LA MÉDITERRANÉE  À AUXONNE, PÉRIPLE D’UN LIEUTENANT EN SECOND » qui ne manquera pas d’avoir une suite et dont le second épisode constituait notre précédent article.

DE LA MÉDITERRANÉE  À AUXONNE, PÉRIPLE D’UN LIEUTENANT EN SECOND (2) - du 03 décembre 2022

    La cause de cet abandon inopiné ? Suivre la mode Napoléon III des prochaines collections (toutes en crinolines !), et l’idée d’une petite flânerie dans le très riche domaine de la statuaire napoléonienne…

     Et cette flânerie comment ne pas l’entamer par la statuaire napoléonienne locale ! Sans oublier Dole pour plus tard, où nous découvrirons qu’il y a aussi matière à narrer…

          Comme l’indique la légende de la gravure que Claudi a empruntée pour son image du jour, l’inauguration de la statue de Bonaparte, la vedette justifiée de notre place, eut lieu le 20 décembre 1857.

   Date objectivement très mal choisie, mais choisie par défaut en raison de multiples tribulations rencontrées dans la réalisation du projet, véritable parcours du combattant, conduit par le maire d’Auxonne Giret.

          Ce court article, ne prétend pas être un article académique mais une simple « oisiveté » anecdotique.

    On trouvera plus de détails sur ce monument dans  les deux brochures suivantes :

J. Bernard, Statue de Napoléon Ier à Auxonne, Auxonne, Saunié, 1857

F. Manceaux et P. Poirrier, dir., La statue de Bonaparte à Auxonne, Auxonne, 1995.

Mais encore dans la deuxième édition de 1857 du Napoléon Bonaparte à Auxonne de Claude Pichard

     Nous voudrions aujourd’hui apporter juste une petite contribution nouvelle à ces monographies. La statue fut inaugurée le 20 décembre 1857. Mais dans les semaines précédant cette inauguration, on avait eu chaud… 

      Le 2 décembre 1857, précisément, le préfet adressait à Monsieur Giret, Maire d’Auxonne, une lettre (Archives municipales d’Auxonne K. 1-3).

  C’est que le Maire d’Auxonne, contre toute attente, venait de mettre le préfet dans un profond embarras en lui annonçant de but en blanc, et à moins d’un moins de la date prévue pour l’inauguration, son intention de démissionner. Homme de cœur, Louis Giret, l’ancien polytechnicien de 1810 et lieutenant d’Artillerie de la Grande Armée, s’était résolu à prendre cette décision pour le moins imprudente en apprenant que l’Empereur n’assisterait pas en personne à la cérémonie.

   Dans sa longue lettre du 2 décembre, le Préfet usait donc de tout son talent pour l’en dissuader, ce à quoi il parvint.

   Par décret du 19 décembre 1857, Jean, Charles, Louis Giret (Chevalier de 1832) était nommé Officier dans l’ordre de la Légion d’Honneur pour prendre rang à dater du même jour (remise à Dijon le 20 février 1858 par le Préfet Baron de Bry).

    Cette rosette était bien méritée

   Car force est de reconnaître que Giret avait été un bon maire – les maires étaient nommés et non élus à cette époque – et qu’au cours de son mandat (1852-1860), outre l’érection de la statue, Auxonne avait connu nombre de travaux et d’embellissements dont nous bénéficions encore aujourd’hui.

    Les temps ont changé, les réseaux sociaux ont étendu leur empire, mais la statue a toujours beaucoup de succès auprès des Auxonnais et des touristes. Et ce succès-là est parfaitement justifié !

    

Auxonne, 1857, inuguration de lastatue de Bonaparte.jpg

Auxonne, 1857, inuguration de lastatue de Bonaparte.jpg

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le  6  décembre 2022 (J+5102 après le vote négatif fondateur)

Publié dans Glyptothèque impériale

 

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Glyptothèque impériale
3 décembre 2022 6 03 /12 /décembre /2022 05:00

DE LA MÉDITERRANÉE  À AUXONNE, PÉRIPLE D’UN LIEUTENANT EN SECOND (2) - du 03 décembre 2022 (J+5099 après le vote négatif fondateur)

     Dans notre précédent épisode, nous évoquions notre passage au cours de l’année 1970, dans les rangs du 511ème Groupe de Transport, avec le rang de sous-lieutenant du contingent.

DE LA MÉDITERRANÉE  À AUXONNE, PÉRIPLE D’UN LIEUTENANT EN SECOND (1) - du 1er décembre 2022

      Mon arrivée à Auxonne avait alors sensiblement coïncidé avec celle de l’été et dès le début de juillet, mon peloton, le 3ème du 2ème escadron, était désigné pour une mission de transport au profit d’un régiment d’infanterie stationné à Verdun : le 164ème R.I..

   Un régiment qui devait être dissous à la fin de l’été.

    Il s’agissait de monter à Verdun pour y prendre en charge divers personnels et matériels de ce régiment, puis de redescendre vers le sud par étapes, la première étant Auxonne, la seconde Vienne, et la troisième Orange.

   Le lieu de destination était le camp de Fréjus où nous devions « livrer » les personnels et les matériels du 164 R.I. avant de remonter à Auxonne, après un bref temps de repos.

     Un lieutenant d’active du GT 511, le lieutenant G. était patron de l’opération, et je n’avais qu’un rôle d’adjoint. Sauf imprévu, bien entendu !

    Retour à Auxonne de Verdun, le lieutenant G. doit nous abandonner en raison de problèmes familiaux. Conséquence, encore bizuth tout juste sorti de l’E.A.T. de TOURS, je dois alors prendre le manche secondé par l’aspirant Bouvard, instituteur jurassien calme et rassurant,  mon prédécesseur du contingent au P3.

     À plus d’un demi-siècle de distance je remercie encore tous les camarades tringlots et biffins plus expérimentés que moi et qui m’ont permis de mener à bien l’affaire et de profiter quelques heures des plages de Fréjus.

    Cette impression générale est restée, le reste s’est envolé comme quelques bâches au vent du couloir rhodanien. Cependant, je frémis encore d’un épisode à la Buster Keaton dans le genre « Mécano de la Générale », quand du côté d’Aix ou d’Orange un GMC au levier de vitesse rétif est resté bloqué de longues minutes sous le soleil et sur un passage à niveau.

    Vérifier les carnets de bord m’occupait déjà pas mal, et je ne possède aucun carnet qui ait jamais recueilli par le menu les détails de ce périple dont les impressions me reviennent aujourd’hui en mémoire.

   Pas le temps d’aller solliciter la mémoire de mes compagnons de voyage d’alors, mais si par hasard l’un d’entre eux tombe sur ces lignes, je le salue !

    Pour finir, l’affaire se termina plutôt bien et le troisième peloton rentra sans encombre au Quartier Bonaparte, aux veilles du 14 juillet. Le voyage était terminé.

     Les pleins à peine effectués et le matériel réintégré, mon Capitaine M. ne me laissa pas le temps de souffler et me brancha fissa sur les préparatifs du défilé.

    Nous avons retrouvé dans nos archives la photo d’un autre défilé et nous la partageons volontiers !

   Voici donc conté en bref mon périple de sous-lieutenant en juillet 1970, des rives de la Méditerranée à Auxonne.

     Je dois vous avouer en toute franchise, qu’alors, bien qu’en garnison à Auxonne au Quartier Bonaparte, il ne me vint pas à l’idée une seule minute de faire le rapprochement entre mon périple et celui qu’avait accompli le célèbre lieutenant en second Bonaparte en empruntant sensiblement le même chemin en mai-juin 1788 (selon les auteurs) pour rejoindre son affectation au régiment de La Fère à Auxonne. Pas une seconde l’idée ne me vint alors de mettre en pensée mes pas dans les siens. J’avais d’autres chats à fouetter !

     Il n’en est pas de même aujourd’hui où dans notre bonne ville impériale autant que dynamique, de la gloire de l’Empereur on n’a jamais autant digressé, autant conférencé et autant écrit ! Alors, pourquoi pas ?! Nous sommes, semble-t-il en démocratie ! Du coup, moi aussi, depuis quelques mois je m’y suis mis !

    Après tout Napoléon n’appartient à personne !

    À bientôt, chers amis lecteurs ! Je vous promets de laisser de côté mes souvenirs de peu d’intérêt, et à vrai dire impubliables hors de mon blog, pour me pencher plus précisément sur ce que divers historiens ont écrit à propos précisément de ce périple de Bonaparte. Nous verrons ça dès que possible !

    Claudi a illustré au mieux notre propos du jour en sortant quelques souvenirs demi-séculaires de son précieux tiroir…

 

Post-scriptum

    Un écrivain militaire, qui n’est plus à présenter, soulignait récemment dans Voix du Jura, les liens entre Bonaparte et Dole. Notre rédaction s’était exprimée à ce sujet.

DOLE ET BONAPARTE : DES LIENS PLUS QUE TÉNUS - du 26 novembre 2022

    Battons notre coulpe à présent et concédons qu’aujourd’hui au moins, la Passerelle de Dole devait avoir un petit air de Pont d’Arcole.

Juillet 1970, GT 511,  de la Méditerranée à Auxonne en GMC.jpg

Juillet 1970, GT 511, de la Méditerranée à Auxonne en GMC.jpg

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le  3  décembre 2022 (J+5099 après le vote négatif fondateur)

Publié dans Histoires de voyages

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Histoires de voyages
1 décembre 2022 4 01 /12 /décembre /2022 05:00

Histoires de voyages

 

DE LA MÉDITERRANÉE  À AUXONNE, PÉRIPLE D’UN LIEUTENANT EN SECOND (1) - du 1er décembre 2022 (J+5097 après le vote négatif fondateur)

    Il est probable que certains de nos lecteurs nous aient jugé atteint depuis quelques mois de napoléonomanie et que leurs chemins de lecture se soient écartés, pour cette respectable raison, de notre blog.

     Simple hypothèse d’un feuilletoniste soucieux de ne point trop ennuyer son lectorat, car, à vrai dire, les statistiques de fréquentation de nos publications n’indiquent pas d’évolution radicale ni dans un sens,  ni dans l’autre.

     Le présent article, qui ouvre une nouvelle série, comme son numéro l’indique, est destiné à éclairer le lecteur sur l’intérêt que nous avons pu  manifester durant les derniers mois à l’égard de l’histoire napoléonienne et des productions littéraires qu’elle a pu susciter, tant de nos jours que par le passé. Cet intérêt n’a rien de nouveau.    

      Un intérêt pour l’histoire locale que nous avons très tôt manifesté, dès notre enfance, puis dans les traces de notre maître Pierre Camp, et enfin aux côtés de notre épouse, n’est  plus un fait  à démontrer.

     Notre passage au cours de l’année 1970, dans les rangs du 511ème Groupe de Transport, et du même coup dans les murs de l’ex-École royale d’Artillerie d’Auxonne que fréquenta Napoléon Bonaparte à la charnière du règne de Louis XVI et de la Révolution a fait de nous un familier de ces lieux et des hommes qui l’animaient alors.

Qui sait ? Né un 5-11, à Auxonne, nous étions sans doute prédestiné à cette affectation vous dira l’astrologue !

En dépit des années, notre expérience de jeune sous-lieutenant dans ce corps et dans le nôtre vit toujours en nous.

     De cela, nous avons déjà d’ailleurs témoigné au cœur de l’été.

NAPOLÉON D’AUXONNE À LA POLOGNE (5) - du 25 juillet 2022

     De juin à décembre 1970, votre serviteur, sous-lieutenant du contingent (classe 70 1/A), fut chef de peloton  au Quartier Bonaparte à Auxonne au 511ème Groupe de Transport de réserve ministérielle.

     Il présente à ses lecteurs quelques archives d’âge respectable qui attesteront du fait :

   Claudi a choisi comme illustration du jour une photo de prise d’armes du 14 juillet 1970 où votre serviteur est sur les rangs.

    Mais me direz-vous, quel rapport avec le périple d’un lieutenant en second de la Méditerranée à Auxonne ?

    Pour votre serviteur, qui était alors sous-lieutenant, ce rapport est évident, car quelques jours avant cette prise d’armes il était à Fréjus avant de remonter à Auxonne, certes pas en turgotine, mais avec son peloton de GMC. Nous en parlerons, promis, dans un  prochain épisode…

Auxonne, tringlots des Trois Glorieuses.jpg

Auxonne, tringlots des Trois Glorieuses.jpg

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le  1er  décembre 2022 (J+5097 après le vote négatif fondateur)

Publié dans Histoires de voyages

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Histoires de voyages
28 novembre 2022 1 28 /11 /novembre /2022 05:00

AUXONNE : POUR UNE VISIBILITÉ RETROUVÉE DU FONDS XAVIER GIRAULT - du 28 novembre 2022 (J+5094 après le vote négatif fondateur)

Le Bien Public titrait, il y a juste une semaine, en pleine page 13 de son tirage papier du 21 novembre dernier : « AUXONNE Le maire J.-F. Coiquil se livre sur la redynamisation du centre-ville » 

Nous nous sommes déjà longuement exprimé sur la Grande-rue nouveau look, sur ses « poubelles à l’effigie de l’Empereur », ainsi que sur la fermeture de la boutique colibriesque de notre adjointe à l’urbanisme…Boutique FMR avant l’heure !

Telle n’est pas, aujourd’hui, notre intention de revenir sur ces questions, comme le démontre notre titre.

Venons en donc à notre vrai sujet du jour et à son objet : « défendre la mémoire et l’œuvre de Claude-Xavier Girault »

Cette tâche, nous avons entrepris de la mener depuis bientôt deux mois pour des raisons conjoncturelles et culturelles déjà exposées dans ce blog, et que le lecteur épisodique pourra redécouvrir dans le présent article.

Nous avions rendu compte du dernier évènement de notre campagne de défense et illustration dans un précédent article.

AUXONNE : DÉFENSE ET ILLUSTRATION DE CLAUDE-XAVIER GIRAULT - du 21 novembre 2022

Rappelons pour les gens pressés qui ont passé le lien ci-dessus, que le dernier évènement de cette campagne de défense aura été notre conférence du 19 novembre dernier. Conférence lors de laquelle pour être dans le bon ton et au goût du jour, nous n’avions pas omis le passage obligé par Napoléon.

Xavier Girault, son contemporain, l’avait connu et avait reçu de lui son poste de maire. De quoi rendre songeur notre premier édile actuel, au demeurant très « impérial », mais hélas « venu trop tard dans un monde trop vieux ».

Délaissons à présent la poésie de Musset pour la prose du Bien Public. Et entrons dans le paragraphe « Deux projets en cours de réalisation » pour nous livrer à une analyse des propos de notre premier édile concernant le projet médiathèque. Propos tant complexes qu’ambigus exprimant successivement et en gros : primo ses désaccords avec le projet de la municipalité précédente, secundo les priorités à envisager dans l’immédiat, et pour finir, tertio : une réflexion générale de notre premier édile sur la fonction actuelle d’une médiathèque.

Pour éviter tout quiproquo, confusion ou contresens, nous proposons à nos lecteurs une lecture dans le texte disponible dans le PDF qui suit.

Le primo n’est plus d’actualité et nous laisserons à notre premier édile le loisir de l’évoquer plus tard dans ses mémoires.

Le tertio a, ce nous semble, déjà été évoqué le 6 octobre dernier à propos d’un « remue-méninges » de triste mémoire, dont les participants se souviendront, et dont les curieux pourront imaginer les joyeusetés et autres gaîtés de l’escadron au moyen du lien ci-dessous. Un « spécialiste de la jeunesse de Bonaparte » ne l’est pas forcément en matière de réserve et de courtoisie.

AUXONNE OU L’EMPIRE DU BON GOÛT ? - du 08 octobre 2022

Conseil de sage : il serait, nous semble-t-il, périlleux autant qu’oiseux et dispendieux de renouveler pareil remue-méninges, remue-ménage, avouons-le, d’un rendement douteux !

Oublions ces événements navrants et revenons à notre revue de presse.

Traités le primo et le tertio, il nous reste à examiner le secundo

Et, à ce propos, pour une fois nous crions BRAVO !

S’il y a une priorité c’est bien celle « DE RÉINSTALLER LE PLUS VITE POSSIBLE LE FONDS ANCIEN DANS SON ESPACE ».

Ce fonds ancien dont Claude-Xavier GIRAULT rassembla le précieux noyau avec talent et persévérance alors qu’il était maire d’AUXONNE sous le Consulat !

Un tout petit préalable de détail à ne pas négliger avant cette réinstallation rapide : conforter au plus vite la porte principale de la Grande-rue !

Post scriptum

Puisque nous sommes dans l’univers des livres, et des bons livres, notons le fait que dans le monde du livre, notre premier édile, embarqué dans les caissons de la Grande Armée, acquérait, il y a peu, la qualité d’auteur. Vous en doutez ? Alors vous avez tort !!!

https://www.decitre.fr/auteur/16321928/Jacques+Francois+Coiquil

Notre rédaction n’avait d’ailleurs pas manqué de le remarquer à sa manière dans ses hardis autant que téméraires commentaires littéraires...avant même la parution officielle de cet ouvrage que nous nous permettrons de qualifier de « fortifié » à l’égard de toute critique non convenue.

AUXONNE : UNE NOUVELLE RECRUE AU RAYON OUVRAGES IMPÉRIAUX (1) - du 01 octobre 2022

Auxonne, il nous tarde de revoir le fonds Xavier Girault.jpg

Auxonne, il nous tarde de revoir le fonds Xavier Girault.jpg

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 28 novembre 2022 (J+5094 après le vote négatif fondateur)

Publié dans Revue de presse

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans revue de presse
26 novembre 2022 6 26 /11 /novembre /2022 05:00

DOLE ET BONAPARTE : DES LIENS PLUS QUE TÉNUS - du 26 novembre 2022 (J+5092 après le vote négatif fondateur)

Un auteur militaire dolois en garnison à Auxonne et en pleine campagne... de promotion de son récent ouvrage s’exprimait à ce propos dans le dernier numéro (4070) de Voix du Jura du 24 courant, dans un article intitulé « Bonaparte avait des liens avec Dole » 

AUXONNE, DOLE ET BONAPARTE, OU  LA « PASSION » EN VITRINE  - du 24 novembre 2022

« Bonaparte avait des liens avec Dole »  Vite dit ! Il est vrai que durant le printemps 1791, notre lieutenant en second peu fortuné fut amené à plusieurs reprises à faire le trajet à pied entre Auxonne et Dole pour y faire imprimer sa Lettre à Buttafuoco. Mais la raison n’en était pas un quelconque lien particulier de Bonaparte avec Dole mais tout bonnement l’opportunité d’une relative proximité des deux villes et l’absence, alors, d’imprimeur à Auxonne.

Certains Dolois ont pu broder à ce propos, ou brodent encore, sur un prétendu lien entre Bonaparte et Dole mais il ne s’agissait là que de simples déplacements de nécessité. On pourra lire avec profit l’opuscule de Julien Feuvrier archiviste de la Ville de Dole Bonaparte à Dole, (Paris, Champion, 1911) qui ramène à sa juste proportion l’évènement dont selon lui, quelques Dolois eurent, par la suite, la tentation d’exagérer l’importance (p. 11 premier paragraphe)

On trouvera de plus amples détails sur les relations entre Joly et Bonaparte dans un article publié dans notre blog bien avant qu’un nouvel historien dolois en vogue fasse le buzz dans la presse et sur les rézosocio...

BONAPARTE À AUXONNE ou le Promeneur Solitaire Corse (12) - du 03 janvier 2018

De tels feux roulants publicitaires sont-ils vraiment propres à convaincre l’honnête homme.

À convaincre le lecteur averti qui veut en toute liberté et esprit critique se documenter sur le séjour de Bonaparte à Auxonne.

L’honnête homme, dis-je, sans préjugés, sans esprit de cocarde et qui n’est pas un grognard du dimanche, quelle conclusion peut-il tirer, après mûre réflexion, du discours que l’auteur diffusait récemment sur sa page facebook et que nous reproduisons ici :

«  Bonsoir les ami(e)s, sincèrement je ne voulais pas écrire mais finalement le fait que mon livre puisse paraître sur le site "Villes Impériales " m'honore et je souhaitais vous y associer.

L'aventure continue, c'est compliqué mais il ne faut rien lâcher, communiquer est difficile mais le principal reste bien de transmettre sa passion.

Un livre n'est jamais parfait, les imperfections peuvent être légions, fautes, syntaxes, qu'importe, l'écriture révèle toute l'âme de son auteur.

Alors, lisez ce livre avec votre passion, avec plaisir, découverte, soyez aventurier, aventurière, vivez l'histoire ! »

La conclusion qu’en tirera cet honnête homme, c’est que cherchant seulement à se documenter il n’attend pas particulièrement de sa lecture qu’elle lui révèle l’« âme de l’auteur » !

Cet honnête homme n’a que faire de cette « passion » à transmettre, pas plus que de cet « honneur » auquel on prétend l’associer ! Pas plus qu’il ne cherche à devenir l’« ami » de l’auteur !

Ce qu’il souhaite ? : lire tout bonnement un peu d’histoire bien écrite, sans se farcir nécessairement un discours conquérant à la tonalité enflammée dans le genre psycho-héroïco-apologétique.

Castelot, Ducaux et Gallo, auteurs honnêtes autant que populaires, nous instruiront encore longtemps. Ils ne menaient pourtant pas de telles croisades en fanfare et en cocarde !

Mais revenons à Dole et à ses « liens » prétendus avec Bonaparte…. Vraiment ténus…

On pourra remarquer en passant qu’il n’est même plus question, dans l’article cité plus haut, du Dolois Grosey qui aurait obtenu de Bonaparte une promotion de Procureur impérial à Belfort (il en est pourtant question à la page 104 du récent ouvrage de notre auteur dolois, et dans maintes autres pages encore...).

NAPOLÉON BONAPARTE ENTRE AUXONNE ET DOLE (6) - du 28 septembre 2022

En conclusion, une bonne loupe de Morez pourrait bien s’avérer nécessaire pour trouver des liens entre Bonaparte et Dole. Promis, juré, pour aujourd’hui c’est assez, nous reparlerons de cela plus tard …. si vous le voulez bien !

Pour le moment, force est d’avouer que le plus troublant de ces liens, quoique lointain, est à notre sens celui que notre auteur a su si bien évoquer dans Voix du Jura en ces termes : « Alors que je me promenais rue des Arènes, en regardant la devanture d’un bureau de tabac, j’ai remarqué une petite statue de Bonaparte à cheval et je suis resté là à la regarder la passion est venue immédiatement »

Le seul problème est que les tabacs ne semblent pas manquer dans la rue des Arènes, mais qui sait, le chercheur passionné en apprendra peut-être plus à ce sujet, le 3 décembre à La Passerelle….

https://www.librairie-passerelle.fr/stephane-hardy-dedicace-samedi-3-decembre-dedicace-a-partir-de-10h30-conference-a-17h.html

Claudi a esquissé les périples pédestres autant qu’éditoriaux du jeune Bonaparte pour ses fidèles lecteurs.

Vue disponible par ailleurs en PDF pour une meilleure lisibilité.

 

POST SCRIPTUM

De tribune en tribune nous suivons toujours d’un pas bien assuré l’itinéraire d’un passionné !

https://www.facebook.com/photo?fbid=1509254156190033&set=pcb.1509254416190007

Et nous venons de découvrir à cette occasion une garantie dont les demi-soldes et autres « débris de la Grande Armée », nés trop tôt, n’auraient pu espérer bénéficier.

Après tout, l’Histoire n’appartient à personne ! Et, quand on est vraiment curieux d’apprendre, aucun de ses aspects n’est à dédaigner...

Napoléon Bonaparte  se rend à pied d'Auxonne à Dole.jpg

Napoléon Bonaparte se rend à pied d'Auxonne à Dole.jpg

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 26 novembre 2022 (J+5092 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Passionnant
24 novembre 2022 4 24 /11 /novembre /2022 12:38

AUXONNE, DOLE ET BONAPARTE, OU  LA « PASSION » EN VITRINE  - du 24 novembre 2022 (J+5090 après le vote négatif fondateur)

En page 39, un numéro de page très « Jura » le hasard fait parfois bien les choses, du dernier numéro tout frais (4070) de La Voix du Jura nous avons découvert ce matin un article sous le titre « Bonaparte avait des liens avec Dole » 

Comme les Dupond(t), nous dirons même plus que de ces « liens », Bonaparte n’en a jamais tant eu depuis qu’un éminent Dolois en régiment à Auxonne s’est pris d’une passion impériale autant qu’éditoriale comme en témoignait déjà notre article d’hier.

AUXONNE, IMPÉRIALISSIME ?- du 23 novembre 2022

Mais revenons au dernier numéro de La Voix du Jura et à l’article sous le titre « Bonaparte avait des liens avec Dole » 

Entre nous le vrai cœur de cet article, un tantinet promotionnel, réside dans la confession pour le moins troublante d’un auteur qui nous éclaire sans façons sur la naissance de sa passion : « Alors que je me promenais rue des Arènes, en regardant la devanture d’un bureau de tabac, j’ai remarqué une petite statue de Bonaparte à cheval et je suis resté là à la regarder la passion est venue immédiatement »

Toutes proportions gardées, ce petit texte pourrait être mis en parallèle avec cette confession du jeune Paul Claudel :

« En un instant mon cœur fut touché et je crus. Je crus, d'une telle force d'adhésion, d'un tel soulèvement de tout mon être, d'une conviction si puissante, d'une telle certitude ne laissant place à aucune espèce de doute, que, depuis, tous les livres, tous les raisonnements, tous les hasards d'une vie agitée, n'ont pu ébranler ma foi, ni, à vrai dire, la toucher. » (Paul Claudel, Ma conversion , in Revue de la Jeunesse 10 octobre 1913, pp. 28-34)

D’aucuns nous reprocheront encore ce hardi raccourci entre un fana, parmi tant d’autres, du « petit chapeau » et l’auteur unique du Soulier de satin !

Qui sait même si tout ça ne finira pas par un duel ! Pour notre compte nous optons pour la plume !

Mais, tiens, justement à propos de duel, il n’est plus question dans l’article du fameux dolois Grosey !?

NAPOLÉON BONAPARTE ENTRE AUXONNE ET DOLE (6) - du 28 septembre 2022

Voilà une lacune qui pour le moins interroge !?

Fidèle et confiant dans les valeurs sûres, Claudi publie en deuxième diffusion son hommage à l’historien Frédéric Masson (1847-1923)

 

Post-scriptum

En attendant, pour en revenir à notre auteur dolois, l’homme à la passion venue comme par miracle du « cavalier dans la vitrine », une question interroge...

C’est qu’il semblerait pour le moins, en dépit de la naïveté désarmante de ses propos et confidences, qu’il ne manque pas d’entregent dans certaines sphères tant civiles que militaires, opportunités qu’il n’aura sans doute pas trouvées comme par hasard dans la vitrine d’un tabac ou dans une pochette-surprise !

https://www.ville-imperiale.com/evenement/bonaparte-a-auxonne-souvenir-de-jeunesse-1788-1791__trashed/

 

 

Hommage à Frédéric Masson (1847-1923) - .jpg

Hommage à Frédéric Masson (1847-1923) - .jpg

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 24 novembre 2022 (J+5090 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Passionnant
23 novembre 2022 3 23 /11 /novembre /2022 05:00

AUXONNE, IMPÉRIALISSIME ?- du 23 novembre 2022 (J+5089 après le vote négatif fondateur)

Nous rendions compte avant-hier de notre conférence autour de trois maires « napoléoniens » au nombre desquels Claude-Xavier GIRAULT (1764-1823)

AUXONNE : DÉFENSE ET ILLUSTRATION DE CLAUDE-XAVIER GIRAULT - du 21 novembre 2022

D’aucuns, qui n’assistaient pas à cette prestation de bon ton, diront peut-être : « foin de ces remémorations et rabâchages stériles de vieilles lunes par un vieux con.férencier ! »

En la matière nous sommes blindé et ce genre de remarques ne risque pas le moins du monde de nous préoccuper car nous ne visons en aucun cas cette quête illusoire d’« amis » pour une notoriété éphémère de papier au hit-parade sur la toile !

Sur cette toile, où l’étoile de Napoléon ne semble jamais avoir autant brillé qu’aujourd’hui au firmament de notre bonne ville malgré les restrictions d’éclairage.

Le 21 octobre dernier voyait ainsi le séjour castelroussin de notre premier édile et sa visite du Château Raoul.

AUXONNE : DE LA PLACE ROSE AU CHÂTEAU RAOUL - du 24 octobre 2022

https://www.ville-imperiale.com/evenement/deux-nouvelles-villes-adherentes-et-une-nouvelle-ville-et-villages-partenaires__trashed/

Et un mois jour pour jour après, ce 21 novembre dernier, à la charnière de brumaire et de frimaire, un évènement historiographique local autant que national venait à son tour éclairer le firmament impérial littéraire auxonnois  !

https://www.ville-imperiale.com/evenement/bonaparte-a-auxonne-souvenir-de-jeunesse-1788-1791__trashed/

Sale temps pour le vieux con.férencier qui n’avait pourtant pas manqué de remarquer, bien avant le site impérial, la production en question et d’en faire une lecture un peu approfondie. Et, crime de lèse-majesté, avait même osé publier quelques aperçus de sa réflexion !

Aurait on donc seulement le droit de partager une « passion » sans avoir celui de faire part de ses impressions de lecture au-delà de la seule doxa de la quatrième de couverture !

Dépourvu de staff communicationnel et d’amis de service nous présentons néanmoins en relecture nos propos déplacés autant que subversifs du mois dernier avant qu’un triste Fouché ne vienne nous en empêcher.

Car l’Empereur, qui ne dédaignait pas d’être encensé, tout comme ses suiveurs d’ici et d’ailleurs, était aussi un grand censeur :

AUXONNE : UNE NOUVELLE RECRUE AU RAYON OUVRAGES IMPÉRIAUX (1) - du 01 octobre 2022

AUXONNE : UNE NOUVELLE RECRUE AU RAYON OUVRAGES IMPÉRIAUX (2) - du 05 octobre 2022

AUXONNE : UNE NOUVELLE RECRUE AU RAYON OUVRAGES IMPÉRIAUX (3) - du 15 octobre 2022

En illustration exclusive de cet article bibliographique, Claudi se devait d’offrir aujourd’hui un document bibliographique peu commun : l’ex-libris de l’Amiral George Cockburn bien connu de tous les saint-hélénistes et souvent réputé, à tort ou à raison (?), pour avoir été un geôlier compatissant de l’Empereur. C’est lui qui en particulier procura à l’Empereur une baignoire en cuivre. Les curieux retrouveront cette histoire à partir du lien ci-dessous.

DEUX BAIGNOIRES POUR NAPOLÉON BONAPARTE (3) - du 24 août 2022

Il est bien connu que l’Empereur s’attardait volontiers en longues lectures dans un bain chaud comme d’autres aiment le faire dans des bains de foule !

Nul ne saurait parier que de tels ex-libris n’aient jamais été retrouvés surnageant dans la baignoire fumante, mais ce qui est sûr, c’est que Las Cases, Antomarchi et O’Meara n’en parlent pas !

Lexemplaire de cet ex-libris que nous présentons aujourd’hui ne provient pas de la baignoire, il est toujours bien collé sur le premier plat d’un ouvrage en français du dix-septième siècle. Ses trois coqs ont semblé bien sympathiques à la rédaction de Chantecler !

Les trois coqs de Sir George Cockburn.jpg

Les trois coqs de Sir George Cockburn.jpg

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 23 novembre 2022 (J+5089 après le vote négatif fondateur)

Publié dans Droit de réponse

 

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Droit de réponse