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  • Claude Speranza, Auxonnais
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9 mars 2018 5 09 /03 /mars /2018 06:27

CHARMOY-CITY : ENFIN DES NOUVELLES DU CMJ ! - du 09 mars 2018 (J+3369 après le vote négatif fondateur)

     Deux mois auront bientôt passé, depuis le 13 janvier dernier, jour de l’élection du maire et des adjoints du nouveau CMJ.

       Rappelons que jusqu’au 12 février, l’information n’avait pas été relayée, hormis sur la page facebook du groupe de la majorité municipale.

CMJ DE CHARMOY-CITY : DES « PETITS PROTÉGÉS », SOUS LA HOULETTE,  PASSIONNÉMENT - du 24 janvier 2018 

        Pour finir, au cours de la semaine du 12 février, soit un mois après l’évènement, deux parutions gratuites (Inf’Auxonne n° 59 de février 2018  et Hebdo 39 N° 288 du 12 février 2018)  rendaient compte de la mise en place du nouveau CMJ.

      Le CMJ précédent, premier de la série, qui avait élu son maire à la mi-décembre 2015, avait connu un plus grand succès médiatique.

     À preuve, le 21 du même mois, Le Bien Public rendait compte  de l’évènement sous le titre « Une fille aux commandes ». Une photo illustrant l’article présentait la jeune et souriante élue, toute petite à la droite de l’imposant premier édile en titre, mais pas plus impressionnée que ça.

       Passons.  En dépit de cette discrétion médiatique, soyez persuadés que le nouveau CMJ travaille « à huis clos », en toute discrétion, et sans tapage médiatique inutile !

CHARMOY-CITY, HUIS CLOS POUR LE NOUVEAU CMJ ? - du 14 FÉVRIER 2018

     Devant tant de discrétion, et pour obtenir un complément d’information, nous avons fait, pas plus tard qu’avant-hier, une petite visite sur l’onglet CMJ du site officiel de la Ville.

    Comme le maire a des adjoints, cet onglet, comporte trois sous-onglets : le conseil, les projets, les rapports.

    Pour information de nos lecteurs, nous publions en PDF les copies d’écran correspondantes, auxquelles nous avons joint  une copie d’écran un peu moins récente relative aux « rapports ».

    Nos lecteurs pourront noter au passage l’état de mise à jour et l’abondance d’informations de ce site officiel.

      Ils constateront cependant, heureuse et inhabituelle surprise, la présence d’un nouveau rapport, celui de la réunion du 28 février dernier !

     Les précédents, dont nous avions gardé l’archive, ont du coup rejoint les poubelles de l’Histoire et sont devenus inaccessibles.

    Rappelons que le dernier en date, remontait au 7 septembre 2016 ! Comme le temps passe !        

    Trop occupés à faire ramasser les papiers sous la bannière d’une grande enseigne, les mentors du CMJ n’ont sans doute  pas eu le temps d’en produire !

ALBUM - Et si on nettoyait la nature ?

     N’empêche que, comme indiqué, « le Conseil municipal des Jeunes, comme tout conseil municipal, se réunit régulièrement ». À la bonne heure !

    Que nous apprend maintenant le dernier rapport tout frais publié sur les sujets qui nous passionnent ?

« Chasse au trésor : intervention de Caroline Laffage et Nicolas Labbé

La date retenue serait le samedi 7 avril 2018 après midi de 14h à 16h. La chasse aux œufs des petits se ferait de 16h à 17h dans la cours du Château … (à confirmer)

L’année dernière, la chasse au trésor tournait autour du patrimoine Auxonnais.

Cette année, on impliquerait les commerçants du Centre- ville (sauf tabacs, cafés ou tout autre lieu inadapté pour des enfants). Le but étant de faire découvrir nos boutiques et leurs spécialités.

Les enfants pourront travailler en petits groupes et proposer 1 question facile et 1 plus difficile pour que Nicolas puisse réaliser les cartes de la chasse au trésor qui seront distribuées en début de parcours. (rébus, dessin, devinette etc … »)

     Conclusion, l’information selon laquelle : « La chasse aux œufs des petits se ferait de 16h à 17h dans la cours du Château … (à confirmer) » vient infirmer l’information du Bien Public du 6 courant qui annonçait « Une chasse au trésor devrait remplacer celle aux œufs », et à laquelle nous nous sommes trop hâtivement fié. À suivre…

CHARMOY-CITY : DE CHASSE AUX ŒUFS EN CHASSE AU TRÉSOR - du 07 mars 2018

    Une dernière impression pour finir, cette découverte, quasi muséale et ethnographique de  « nos boutiques et de leurs spécialités », but avoué de la manœuvre, nous fait penser immanquablement à un épisode de notre célèbre feuilleton du Charmoy à voir et à revoir !

      En clair, la grande surface c’est pour le quotidien, mais quand on veut se distraire un peu on fait un petit tour dans la réserve d’indiens !

     De cette réserve, Claudi a fort opportunément recyclé l’image pour l’illustration d’aujourd’hui !

ÉPISODE N° 31 : IN MEMORIAM- du 10 septembre 2013

Charmoy-City : parcours découverte pour la jeunesse

Charmoy-City : parcours découverte pour la jeunesse

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 09 mars 2018  (J+3369 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Documents
6 mars 2018 2 06 /03 /mars /2018 09:03

CHARMOY-CITY : 50 ANS AVANT LE ¨PROJET DE REVITALISATION DOUCE, UN PROJET DE RÉNOVATION DURE (2)  - du 06 mars 2018 (J+3363 après le vote négatif fondateur)

        Dans un précédent article sous le même titre, nous étions revenu sur un projet de rénovation bulldozer qui avait failli détruire une bonne part du centre-ville au cours des années 60 du siècle dernier.

      Rappelons que c’est l’évocation de ce projet par notre premier édile, au cours de la réunion publique du 27 février, qui nous a amené à évoquer plus en détail cette péripétie urbanistique de notre bonne ville

CHARMOY-CITY : 50 ANS AVANT LE ¨PROJET DE REVITALISATION DOUCE, UN PROJET DE RÉNOVATION DURE  - du 03 mars 2018

        Dans ce précédent article nous avions décrit l’approche de la menace au tournant de la décennie 50-60 et nous en étions arrivé à la condition technique à remplir pour permettre le démarrage de l’opération : la construction rapide de « l’immeuble de 60 logements à la place de l’Arsenal » (Les Dépêches du 5 décembre 1963), cité de relogement nécessaire pour que l’opération puisse démarrer et se poursuivre.

      Et pour construire « à la place de l’Arsenal », il était nécessaire, d’abord, de démolir l’Arsenal.

     Une dernière question pour finir : Pourquoi a-t-on choisi alors de démolir l’Arsenal ?

        L’explication est simple. L’immeuble est un bien communal. En effet, en 1952  projetant des aménagements pour ses services, la Ville a acquis l’ensemble, appartenant au domaine militaire, pour 5 millions de francs anciens (cent mille euros actuels).

      Dix ans après, les projets sont en panne, l’utilisation effective de l’Arsenal se révèle peu satisfaisante et, par défaut d’entretien, le bâtiment se dégrade. Dans ce vaste ensemble d’entrepôts divers, un seul ménage  réside.

    La municipalité voit donc l’îlot de l’Arsenal comme le domino providentiel qui pourrait sauter à moindres frais,  permettant ainsi le démarrage du plan : pas de terrain à acheter, pas d’expropriés à reloger. Le premier immeuble construit sur son emplacement serait la cité de relogement vide qui accueillerait les habitants déplacés de la tranche suivante. La partie de dominos s’étendrait ainsi de proche en proche aux huit îlots.

    Ajoutons que les avis d’experts sur la qualité de l’immeuble sont pour le moins contradictoires. L’Architecte de la Ville, Javelle, écrit en 1952 : « Les bâtiments dont la Ville envisage l’acquisition sont solidement construits et dans leur ensemble en bon état d’entretien ».

  Daté du 25 mars 1966, un rapport de l’urbaniste Parlos mentionne un avis rendu en 1963 par le Conservateur des Bâtiments de France Parent,  et selon lequel : « il  ne s’oppose pas à la disparition de cet ensemble qui se trouve dans un état de délabrement ». Et plus loin, on peut lire : « la démolition de l’Arsenal militaire qui conditionne le démarrage de l’opération de rénovation a été approuvée [...] notamment par la conservation des Bâtiments de France, Monsieur Poix étant successeur de Monsieur Parent ». Qui veut noyer son chien...

        À la fin de l’année 1965, la municipalité négocie les modalités de la démolition avec la société Est-Récupération. L’entreprise se réservant la propriété de centaines de mètres-cubes de bois de chêne, la démolition ne devrait pas grever le budget de la commune.

  

     Le 1er mars 1966, le conseil municipal, après exposé du maire de la nécessité d’une démolition rapide de l’Arsenal, confirme le choix du démolisseur : « le Conseil municipal, à l’unanimité de ses membres présents, confie les travaux de démolition de l’Arsenal à la Société Est-Récupération qui les effectuera gratuitement ».

     Le 2 juin, enfin, la décision de démolir est prise à l’unanimité : « Le Conseil Municipal à l’unanimité de ses membres présents, approuve la démolition de l’Arsenal [...] demande que cette démolition intervienne rapidement ».

      Petite remarque en passant : l’exemple de l’Arsenal montre les aléas qui peuvent survenir, le temps passant, à propos du sort des bâtiments acquis par une municipalité pour un objectif défini initialement.

     Pour l’illustration du jour, Claudi a été inspiré par la chèvre de Lombard, professeur de mathématiques de Bonaparte lors de son séjour à Auxonne.

ALBUM BONAPARTE À AUXONNE ou le Promeneur Solitaire Corse

    Quel rapport, me direz-vous entre une chèvre fût-elle de Lombard et l’Arsenal ?

    Je vais tenter de vous l’expliquer dans la limite de 330 caractères !

CHARMOY-CITY : DES ÉTRENNES QUI TRAÎNENT - du 12 FÉVRIER 2018

    Réponse : L’Arsenal, en activité du temps du séjour de Bonaparte, était le lieu de « travaux pratiques » divers liés à la fabrication, à la maintenance et à la manœuvre des pièces d’artillerie. Le levage des pièces à l’aide de machines simples, telles que la chèvre de Lombard, était au programme et Bonaparte y participa sans doute.

Vous voyez bien,  que quand on veut, on peut être concis !

CHARMOY-CITY : 50 ANS AVANT LE ¨PROJET DE REVITALISATION DOUCE, UN PROJET DE RÉNOVATION DURE (2)  - du 06 mars 2018 (J+3363 après le vote négatif fondateur)

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 06 mars 2018 (J+3366 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Documents
3 mars 2018 6 03 /03 /mars /2018 11:21

CHARMOY-CITY : 50 ANS AVANT LE ¨PROJET DE REVITALISATION DOUCE, UN PROJET DE RÉNOVATION DURE  - du 03 mars (J+3363 après le vote négatif fondateur)

     Dans nos deux précédents articles, nous rendions compte de la réunion publique du 27 février dernier relative au projet de revitalisation du centre-bourg

CHARMOY-CITY : LA REVITALISATION SANS FARD - du 02 mars 2018

     Mentionnons à ce propos un détail intéressant dont la presse n’a, pour l’heure,  pas rendu compte :

        Dans son discours de présentation ouvrant la soirée, notre premier édile a fait mention d’un ancien projet de rénovation, jamais concrétisé sur le terrain mais représenté sur une maquette d’architecture encore existante et reléguée aujourd’hui dans un grenier. Tout en reprouvant rétrospectivement ce projet de rénovation au bulldozer, il a rendu hommage au petit groupe d’Auxonnais qui avaient contribué à faire capoter le projet. En opposition à la municipalité alors en place, rappelons-le quand même.

       Cette affaire semble tenir à cœur à notre premier magistrat puisque dans Le Bien Public du 18 novembre 2016, dans l’article « AUXONNE CENTRE-BOURG La revitalisation prend forme », notre premier édile déclarait déjà : « Auxonne a frôlé la catastrophe. Nous avons retrouvé, dans un grenier, un projet daté des années soixante qui prévoyait de raser la totalité du centre-ville pour y construire des HLM »

      Vous pourrez voir en image un aperçu du projet dans l'article ci-dessous

À CHARMOY-CITY, COMME AILLEURS, UN CLOU CHASSE L’AUTRE - du 23 novembre 2016

      Il se trouve que votre serviteur, alors dans la fleur de sa jeunesse, participa activement aux côtés de vénérables aînés, au combat contre ce projet qui ne consistait pas à « raser la totalité du centre-ville pour y construire des HLM  », mais, à tout le moins, une bonne moitié !

      L’ayant vécue et longuement étudiée, il connaît l’histoire sur le bout du doigt, ainsi que ses développements plus récents. Alors,  encouragé, une fois n’est pas coutume, par les propos de son maire, il a décidé, dans un souci de partage, d’en faire profiter ses concitoyens.

    Au début de l’année 1958, un Réviseur du Ministère de la Reconstruction et du Logement se rend en mission à Auxonne, 670 immeubles antérieurs à 1870 sont visités.

    Le rapport est catégorique. Parmi ces bâtiments, 250 sont à détruire, 340 sont à remettre en état, 80 peuvent être considérés en bon état.

            La conclusion du rapport, approuvée à l’unanimité lors de la séance du Conseil municipal du 5 février 1958 — le docteur Jean Guichard étant maire — est claire :

            « Compte tenu de cette situation particulièrement critique pour une ville où sévit actuellement la crise du logement, il apparaît nécessaire de mettre sur pied dans les meilleurs délais, un programme de rénovation d’îlots défectueux assorti à l’édification d’une cité de relogement de 50 logements ».

            Le programme de rénovation prend forme, une enquête sociale approfondie est d’abord menée en 1962 dans le périmètre concerné, et l’année suivante — le Docteur Pierre Moreau étant maire — la municipalité signe une convention avec la Société d’Équipement du Département de la Côte d’Or désignée comme organisme rénovateur.

    Dans un article des Dépêches du 5 décembre 1963, le correspondant Jean Hugon présente le projet qui concerne à plus ou moins long terme la démolition de la partie nord du centre-ville, que remplaceront huit îlots d’immeubles neufs : « Le premier ïlot est formé par le quadrilatère rue Vauban, rue Capitaine Landolphe, rue Carnot, rue des Halles ; il comprend 3 bâtiments de chacun un rez-de-chaussée et 3 étages [...] on souhaiterait que se construise très rapidement l’immeuble de 60 logements à la place de l’Arsenal ».

   Les architectes et les technocrates ont signé l’arrêt de mort de l’Arsenal. Elu maire d’Auxonne en 1965, Jean Hugon s’efforcera  de le faire exécuter, mais en vain !

 La suite au prochain numéro !

Dans son image, Claudi, vous fait remonter encore plus loin dans l'Histoire ! On n'arrête pas le progrès !

     

L'urbanisme du progrès assiégeant Charmoy-City

L'urbanisme du progrès assiégeant Charmoy-City

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 03 mars 2018 (J+3363 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Documents
12 février 2018 1 12 /02 /février /2018 10:42

CHARMOY-CITY : DES ÉTRENNES QUI TRAÎNENT - du 12 FÉVRIER 2018 (J+3344 après le vote négatif fondateur)

     Charmoy-City est dans l’expectative, Charmoy-City est inquiète. Quelle est donc la cause de cette inquiétude qui plane sur le centre-bourg ?

       La cause, la voilà :

 Le vol A 330 Info’tweet n° 59 n’a toujours pas atterri dans nos boîtes aux lettres…

 

CHARMOY-CITY : LA CITÉ AUX 330 CARACTÈRES - du 12 janvier 2018

    Depuis des années nous ne manquons jamais de saluer l’arrivée du passionnant magazine, et particulièrement celle du premier numéro inaugurant l’année toute neuve : il constitue en quelque sorte nos étrennes médiatiques municipales !

     La consultation des archives de notre blog pour les 6 dernières années écoulées nous a permis de retrouver sans peine la date approximative de distribution  du numéro de janvier pour chacune d’elles.

     Conclusion : Le retard observé actuellement pour le numéro 59 constitue un évènement sans précédent !!

        En effet, de 2012 à 2017, le magazine est bien arrivé fin janvier, exception faite pour l’année 2014 lors de laquelle il arriva dans les tout premiers jours de février !

    Mais à ce retard de 2014, il y avait sans doute une explication circonstancielle : la préparation passionnante de la campagne des municipales ! Et, malgré quelques symptômes médiatiques évocateurs, nous n’en sommes pas encore vraiment là aujourd’hui !

        Compte tenu du retard observé, on ose espérer que l’Édito de janvier 2018 ne s’ouvrira pas sur la même phrase inspirée que l’Édito de janvier 2013 : « 2013 vient de nous ouvrir ses portes et très discrètement, nous arrivons déjà à la fin janvier »

      En attendant, comme vous le découvrirez sur l’illustration de Claudi, les tribunes libres de l’opposition ont déjà quitté l’avion en parachute pour sauter sur facebook avec leur paquetage réduit. Du coup, voilà la publication déflorée avant qu’elle ne nous parvienne !

     Plus de scoop ! Les lecteurs n’auront plus qu’à découvrir sagement la bonne parole passionnée et illustrée. Il est à craindre que le classement vertical du magazine papier, au parfum pourtant inimitable, en soit accéléré dans les bacs jaunes !

    Nous ne manquerons pas, quant à nous, de faire écho à la parution et d’en archiver pieusement le numéro.

     Les archives évitent l’amnésie. En attendant la parution du 59, nous proposons à nos fidèles lecteurs de revivre en situation la parution des précédents numéros de janvier en parcourant les archives de notre médiathèque virtuelle…

 

LE CHARMOY DISCRET DE LA NOSTALGIE - du 25 janvier 2017

 

QUEL PASTIS DANS LE 51 ! (1) - du 21 JANVIER 2016

 

NAPOLÉON ET LE CRAYON (2) - du 21 JANVIER 2015

 

HYPERDISCRET– du 04 février 2014

 

OÙ EST PASSÉE LA ZONE DU CHARMOY ? – du 27 janvier 2013

 

NUMÉRO 35 – du 19 janvier 2012

 

Flash dernière : 10h30, le suspense prend fin,  le vol A 330 Info’tweet n° 59 vient d'atterrir dans ma boîte aux lettres…

Charmoy-City, les tribunes libres sautent sur facebook

Charmoy-City, les tribunes libres sautent sur facebook

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 12 février 2018  (J+3344 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Documents
20 novembre 2017 1 20 /11 /novembre /2017 08:28

CHARMOY-CITY 1998 : LA CHUTE DES « CHAIS PARROT », UNE HISTOIRE DE POTEAUX- du 20 novembre 2017 (J+3260 après le vote négatif fondateur)

     Dans l’étude de tout problème, il n’est jamais inutile de se référer aux enseignements du passé. Dès lors, pourquoi la question des poteaux du Vannois, que nous avons récemment évoquée, échapperait-elle à la règle ?

POTEAUX DU VANNOIS : QU’ILS SOIENT DE BÉTON OU DE BOIS,  CROISONS LES DOIGTS ! - du 18 novembre 2017

        Les faits que nous allons rappeler se situent  à cheval sur deux mandatures Deschamps, Monsieur Raoul Langlois étant premier adjoint.    

       Au début de 1998, une grave erreur d’appréciation technique, relative justement à  une question de poteaux en béton entraîna en cascade une série de catastrophes dont la nécessité de démolir en urgence en juin 1998 un bâtiment qu’OPH-21 devait réhabiliter ne fut pas  la moindre.

    En 1995, OPH-21 s’était vu confier, par la Ville d’Auxonne,  par bail emphytéotique de 65 ans, et pour une opération de réhabilitation en logements, un bâtiment industriel désaffecté désigné sous le terme de « Chais Parrot » qu’elle avait acheté en 1993 à un particulier.

   Le hasard fit que nous fussions riverain immédiat de ce projet situé rue Landolphe.

. En 1998, des affouillements intempestifs entrepris en limite de notre propriété alertèrent notre sens critique, doublé d’une prudence élémentaire de propriétaire. Ce qui nous amena à constituer un dossier « au cas où »…

     Cette précaution ne fut pas inutile pour faire jouer notre assurance après les dégâts collatéraux de la démolition finale mouvementée de juin 1998 qui ne se révéla pas, à proprement parler « chirurgicale » comme promis !

     Un bien de la Ville d’Auxonne voué à la réhabilitation se trouvait donc détruit du fait des aléas des études d’« architecte ».

    On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve et l’on est en droit d’espérer que cela ne se reproduira pas.

    OPH-21 qui avait dû payer la facture de la démolition voulut par la suite éponger sa mésaventure financière.

      Comment ? En projetant à l’emplacement du sinistre,  un nouveau projet augmenté : la construction d’un immeuble neuf de 16 logements qui n’avait aucun sens en ce point sensible du centre historique. Ce projet fut donc imposé à la nouvelle municipalité élue en 2001, qui, à vrai dire, en la personne de son maire, était  peu décidée à s’y opposer.

    En janvier 2004, avec le soutien de l’association Auxonne-Patrimoine, je fis donc paraître Le Courrier de l’Arsenal, précurseur de l’actuel Chantecler.

    Je ne peux que vous conseiller la lecture du petit corpus que constitue la douzaine de numéros riches et bien documentés du Courrier de l’Arsenal.

     Le numéro 4  du 24 février 2004 traite en particulier de l’affaire des « poteaux ».

 http://auxonne.patrimoine.free.fr/actu/index.html

    Pour les gens pressés et les amateurs de clichés rares, Claudi a résumé l’histoire des poteaux en deux photos. 

Charmoy-City 1998, la chute des Chais Parrot, une histoire de poteaux

Charmoy-City 1998, la chute des Chais Parrot, une histoire de poteaux

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 20 novembre 2017 (J+3260 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Documents
16 octobre 2017 1 16 /10 /octobre /2017 07:37

CHARMOY-CITY : AVATAR(S) POUR UN MUSÉE (3)  - du 16 octobre 2017 (J+3225 après le vote négatif fondateur)

      Ce troisième article de notre série documentaire « Avatar(s) pour un musée » sera consacré à quelques rappels concernant l’histoire récente du musée Bonaparte.

          Le 2 février 2012, sur le blog Joconde, la responsable du musée (à présent retraitée) faisait le point  sur les collections et les projets.

http://portail-joconde.over-blog.com/article-bienvenue-sur-joconde-au-musee-bonaparte-a-auxonne-98432791.html

       Rappelons quelques points essentiels de ce texte de 2012 :

Un constat sur la qualité des locaux : « la grosse Tour Notre-Dame du château Louis XI, [constitue] un cadre historique remarquable, mais peu favorable à la conservation des collections ».

        Ce caractère « peu favorable à la conservation des collections » ne manquera pas de se vérifier comme  nous le verrons plus loin.

Un bilan du travail entrepris :    « Un important travail sur les collections a été réalisé depuis 1996 : inventaire sur [une] base de données, photographie argentique de tous les objets, puis numérisation en 2003, documentation des collections, restauration de quelques tableaux. »

       Le texte indique enfin, qu’au moment de sa rédaction (2012) :

      « Un plan de récolement et un projet scientifique et culturel [PSC] sont en cours pour élaborer le projet de transfert et de restructuration. »

       Pour la rédaction de cet article, nous avons consulté l’ex-responsable du musée  qui nous a permis de préciser encore les points suivants : « en novembre 2011, 830 notices illustrées ont été versées sur la base Joconde consultable en ligne »

« Les travaux de récolement commencés en 2012 ont été achevés en juin 2014, le travail s’étant déroulé en grande partie après l’infestation par les moisissures en décembre 2013 »

      Cette infestation par les moisissures devait faire, quelques mois plus tard et en pleine campagne des municipales, l’objet d’un article dans Le Bien Public du 15 mars 2014.

       Le quotidien titrait : « CÔTE-D’OR PATRIMOINE Auxonne : un projet pour le musée malade »  

    Le chapeau de l’article précisait : « Dans la tour du château, les collections du musée Bonaparte sont attaquées par les moisissures. Un traitement d’urgence est engagé. »

L’article, dans lequel s’exprimait l’adjoint à la Culture, faisait mention d’un PSC en cours :

       « L’adjoint souligne, par ailleurs, qu’une réflexion sur le contenu du futur musée – le projet culturel et scientifique (PCS) – est engagée depuis plusieurs mois »

Et le journaliste concluait : « Autant dire que ce futur musée devrait être l’un des projets phares… de la prochaine mandature ».

        Notre rédaction soumet maintenant cette question à votre réflexion : « Le meilleur traitement pour ce « musée malade », destiné à devenir « l’un des projets phares… de la prochaine mandature » a-t-il été en la circonstance bien choisi ?

      Certes, le traitement des moisissures a bien été effectué.

      Cependant, au seul motif que « l’intérêt du service n’était pas démontré », la responsable du musée s’est vue dans l’impossibilité d’achever les autres tâches en cours, dans lesquelles elle s’était investie de longue date, et que ce grave problème de moisissures était venu malencontreusement interrompre.

Lors du conseil municipal du 27 septembre dernier (Compte rendu sommaire correspondant (pages 36 et 37)), Monsieur l’Adjoint à la Culture confessait pourtant sa « profonde estime pour les connaissances de Martine [N.D.L.R. Mme SPERANZA] sur l'histoire d'Auxonne » et déclarait à propos de ses relations de travail avec l’intéressée : « Nous avons collaboré ensemble en ce qui me concerne pendant deux mandats d’adjoint, c'est-à-dire une dizaine d'années, sans aucune anicroche.»

      De ces compliments a posteriori la « collaboratrice » tirera,  n’en doutons pas, une belle jambe, une grande fierté et beaucoup de satisfaction !

       De là à conclure, au-delà de ces compliments, que pas plus que « l’intérêt du service» invoqué par Monsieur le Maire, l’intérêt pour Monsieur l’adjoint à prolonger, dans le cadre normal du service bien entendu, une collaboration pourtant « sans anicroche», ne soit pas clairement et tangiblement démontré …

      Revenons un instant à Bonaparte qui dans sa jeunesse lisait beaucoup et avait lu en particulier une Vie de Frédéric II Roi de Prusse en 4 volumes

BONAPARTE À AUXONNE ou le Promeneur Solitaire Corse (4) - du 06 septembre 2017

     Notre jeune lieutenant connaissait bien, sans doute, l’expression « travailler pour le Roi de Prusse » qui s’applique justement à l’attitude de la France à l’égard du Grand Fréderic.

    « Travailler pour le Roi de Prusse », on peut bien l’assurer, Napoléon ne le fit jamais.

     Il serait difficile, selon notre sentiment du moins, d’en dire de même de la diligente collaboratrice « sans anicroche».  

     Mais après tout, comme disait Frédéric II à Voltaire : « Quand le citron est pressé, je le jette ! ».

ALBUM UN PSC POUR BONAPARTE du 14 août 2017

Charmoy-City avatar pour le musée malade

Charmoy-City avatar pour le musée malade

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 16 octobre 2017 (J+3225 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Documents
14 octobre 2017 6 14 /10 /octobre /2017 07:25

CHARMOY-CITY : AVATAR(S) POUR UN MUSÉE (2)  - du 14 octobre 2017 (J+3223 après le vote négatif fondateur)

 

      Dans un précédent article nous avions fait connaissance avec l’avatar d’une « organisation à but non lucratif à Auxonne, Bourgogne, France » dont le site facebook est apparu sur la toile en juillet dernier comme une nouvelle étoile au firmament virtuel.

     À cette occasion, nous avions commencé à nous interroger, en mots et en images sur le signifiant, c’est-à-dire sur l’image elle-même, représentant un trio (mannequin, enseigne, chèvre).

     Cet exercice préliminaire sur le signifiant visait à en appréhender le signifié sous-jacent, c’est-à-dire à en extraire habilement hors de son enveloppe iconique (non pas comique grand-père !) le message envoyé par le concepteur de l’avatar.

    Car un avatar quel qu’il soit, visage ou paysage, est toujours porteur d’un message.

   Dans le journal Libération du 14 juin 2011 Marie Piquemal écrivait ainsi : « Montre-moi ton avatar je te dirai qui tu es ». Sur la toile, le curieux trouvera  pas mal de littérature sur ce thème, littérature d’ailleurs fortement imprégnée de  psychologie de bazar !

    À propos du signifié, nous avions émis l’hypothèse selon laquelle l’avatar-trio-signifiant  (mannequin, enseigne, chèvre) viserait à exprimer  l’intérêt que les membres de cette « organisation à but non lucratif à Auxonne, Bourgogne, France » éprouvent passionnément pour le musée, actuellement fermé, dans lequel était exposé ce trio. Un intérêt passionné pour le musée, tel serait donc le signifié du trio-signifiant 

      Voilà qui n’est pas mal trouvé ! Un signifiant  passionnant et un signifié de passionné.

     Opérons à présent la synthèse sémiologique en rassemblant signifiant  et signifié. De cette synthèse jaillit la signification profonde de l’avatar ! (C.Q.F.D.)

      Petite parenthèse pédagogique : pour leur formation de citoyens, les petits lapins du CMJ (et les grands aussi) seraient bien inspirés de nous lire.

      Après tout, ça serait pas plus ballot que d’aller ramasser les mégots le dimanche « autour de l’église » et les cannettes « sous la houlette »… et sous une enseigne.

CHARMOY-CITY : À NOUS LE PÉRISCOLAIRE DU DIMANCHE !  - du 05 octobre 2017

   Après cette incisive incise, toujours bonne à ramasser, pour peu que l’on daigne se baisser, poursuivons notre analyse sémiologique.

     Il en est souvent de l’avatar comme du curriculum, tous deux se veulent avantageux.

     On cache alors sa réalité pauvrette derrière un petit animal charmant ou un Apollon séduisant. Ou alors on exhibe son selfie (mais non grand-père ce n’est pas cochon d’exhiber son selfie, c’est con, sans plus !) devant un grand monument, ou à côté d’un personnage important.

     Tartampion devant la grande Pyramide, n’est plus Tartampion, mais quarante siècles qui vous contemplent !

      Tartampion, fut-il illettré, devant les rayons de la Mazarine, n’est plus Tartampion, mais Pic de la Mirandole !

      Par un  avatar, à bon marché l’on se pare, comme le geai, des plumes du paon, voire de l’Aigle.

« Il est assez de geais à deux pieds comme lui

Qui se parent souvent des dépouilles d’autrui » La Fontaine

      La compagnie de Napoléon Bonaparte dans sa phase ascensionnelle n’est pour cela jamais à dédaigner et vous bombarde vers le haut, comme le mortier projette sa bombe.

CHARMOY-CITY, UN TOURISTE DANS NOTRE CIEL - du 30 juillet 2017

      C’est l’enfance de l’art. Les bons concepteurs de journaux ou de revues l’ont bien compris.

      Claudi vous présente aujourd’hui, tirés des meilleures publications locales, deux idées d’  « avatars avec Bonaparte ». À joindre bien vite aux fiches pédagogiques de nos petits lapins du CMJ pour leurs travaux du périscolaire du dimanche « sous la houlette » !

Post-scriptum : Nous avions rédigé l’essentiel de cet article avant la parution du grand article bilan triennal paru dans Le Bien Public de jeudi dernier et intitulé : « Promesses prudentes pour un maire …prudent ».

     Depuis nous avons donné une brève recension de ces « promesses prudentes » à la fin d’un précédent article

CHARMOY-CITY : INDÉPENDANTISME DE COUR D’ÉCOLE ? - du 12 octobre 2017

        Nous voudrions  revenir à nouveau sur les projets de ce « maire prudent » qui en légende de son portrait déclare imprudemment : « Pour l’heure je ne me pose pas la question de ma succession ».

        La succession, Monsieur le Maire, est pourtant une grave question. Regardez donc Napoléon et son malheureux Aiglon ! Et encore, l’Aiglon était le successeur désigné !

         Ce qui n’est même pas le cas pour vous qui avouez dans une de ces plaisanteries exquises dont avez seul le secret : « Vous me demandez si j’ai l’intention de mettre le pied à l’étrier à une personne en particulier ? Je vous réponds non. Elle pourrait vouloir prendre ma place avant que je ne la lui cède (rires)… »

     Le fauteuil de Monsieur le Maire est-il donc si bien rempli qu’il doive en préserver si jalousement le précieux contenu.

     Et comme les chaises des riches bigotes dans les églises d’autrefois, porterait-il, vissée ad aeternam, la plaque d’émail de son possesseur   ?

      Ah ! dynasties ! Monarques déclinants, dauphins  et dauphines impatients, lorsqu’on sent que vous guette la vitrine moisie d’un musée ! Quand l’unique projet est de conserver le pouvoir, et que grouille le panier de crabes !

      Et si notre premier édile, sans façon, pour changer un peu d’horizon, et sans même besoin de se faire élire, faisait d’un autre canton,  sa nouvelle terre d’élection ?

     Le canton de Saint-Amour par exemple ! L’intitulé en est séduisant, voilà un canton où les gens au moins ont du Cœur. Les gaudes paraît-il y sont bonnes ce qui ne gâche rien, et il y a du grain à moudre !

        Pour en revenir à Napoléon et à ses avatars, Saint-Amour, pour une bonne retraite bien méritée, avouez que c’est tout de même plus sympa que Sainte-Hélène !

      En regardant notre illustration certains s’interrogeront sur ce « discours de la consultation ». C’est Monsieur le maire qui l’a fait et son fidèle ami, le beau monsieur pompeux dans son fauteuil doré qui l’a publié. Et si vous voulez lire ce morceau d’anthologie édilitaire, du temps que notre maire faisait encore des discours, ne vous en privez pas,  Chantecler a pensé à vous !

CMJ Charmoy-City créer son avatar avec Bonaparte

CMJ Charmoy-City créer son avatar avec Bonaparte

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 14 octobre 2017 (J+3223 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Documents
9 octobre 2017 1 09 /10 /octobre /2017 06:46

CHARMOY-CITY : AVATAR(S) POUR UN MUSÉE (1)  - du 09 octobre 2017 (J+3218 après le vote négatif fondateur)

     Depuis fin juillet, le paysage facebookien s’est enrichi  d’un nouvel avatar.  Cet avatar, ou photo de profil, n’a pas manqué d’attirer et de retenir toute notre attention.

       Non que le contenu du site soit proprement affriolant car, à vrai dire, en matière de créativité, ce serait plutôt le bureau des indigents.  

      Ne voulant point consacrer trop de caractères à ce premier article d’une nouvelle série qui nous le pensons, ne devrait pas manquer de caractère, nous nous contenterons pour aujourd’hui de brosser une courte description de l’avatar en question. 

      Selon leur degré d’expérience et de sagacité nos lecteurs pourront y reconnaître :

Un mannequin représentant le lieutenant en second Napoléon Bonaparte dans l’uniforme de 1788 (reconstitution à l’identique)

Une enseigne : le drapeau du régiment de La Fère (reconstitution à l’identique)

Un instrument de levage : la chèvre de Monsieur Lombard (échelle ½)

      Un mannequin, une enseigne et une chèvre, un trio que jadis on pouvait rencontrer au Musée Bonaparte et que vient donc d’adopter il y a peu, pour avatar, une « organisation à but non lucratif à Auxonne, Bourgogne, France ».

     Pour exprimer, sans aucun doute, en image l’intérêt qu’éprouvent, passionnément, pour ce musée et ses amis, nos écolos charmoysiens, nettoyeurs bénévoles de la nature et du dimanche !

ALBUM -  ET SI ON NETTOYAIT LA NATURE ?

     Un trio donc, au service  d’une « passion » ! 

      Sur ce trio, d’abord, dont nous connaissons bien l’histoire car nous en fûmes l’un des acteurs, mais aussi sur cette « passion », nous aurons encore beaucoup de choses à vous conter…

N.B. :

          Certains de nos lecteurs, plutôt familiarisés avec le terme d’association, s’interrogeront sans doute sur ce terme inhabituel « organisation à but non lucratif ».

       Selon Wikipédia que nous citons :

« Les expressions organisme sans but lucratif (OSBL), organisme à but non lucratif ou organisation à but non lucratif (OBNL) désignent toute entité dotée de la personnalité morale ou non, publique ou privée, qui n’a pas pour but la recherche de bénéfices pécuniaires à partager entre ses membres. »

« La particularité d'un OSBL ou OBNL est d'assurer que son capital est réinvesti dans ses œuvres et qu'aucun de ses membres ne puisse y puiser pour des fins personnelles. Les travailleurs peuvent y œuvrer bénévolement ou être salariés. »

Charmoy-City, avatar(s) pour un musée

Charmoy-City, avatar(s) pour un musée

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 09 octobre 2017 (J+3218 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Documents
15 juillet 2017 6 15 /07 /juillet /2017 06:55

CHARMOY-CITY : LA RETRAITE ET LE MUSÉE ! - du 15 juillet 2017 (J+3132 après le vote négatif fondateur)

   Pour un lecteur jeune, la retraite et le musée c’est la même chose. Pour la génération qui monte, vous aurez beau prétendre être cet oxymore que l’on nomme un jeune senior, si l’âge de la retraite approche, vous ne serez qu’un dinosaure en puissance !

    Aux vrais grands dinosaures reptiliens les honneurs du musée,  aux autres dinosaures communs les joies de la retraite !

      Pour voir les vrais grands dinosaures reptiliens on se bouscule pour avoir le ticket d’entrée au muséum ou pour Jurassic Park. Les autres dinosaures communs, eux, peuvent toujours aller se faire voir ! Pour se consoler, ils paieront bientôt la CSG !

     Napoléon, lui, ne prit jamais sa retraite, et quand, en 1812,  le Général Hiver l’obligea à en prendre le chemin, il ne le fit pas de gaîté de cœur !

     Sainte-Hélène ne fut même pas, quoi qu’on en pense, pour l’Empereur, une exotique retraite, mais le placard étouffant et vexatoire où finit par le reléguer la perfide Albion.

    À Charmoy-City, nous avions un petit musée. Quand j’étais enfant, ne pensant pas encore qu’un jour je serais retraité, j’adorais le visiter.

      Modestement installé au premier étage de la « Salle d’Asile » – le bâtiment de l’actuelle perception – il était gardé par de paisibles retraités qui veillaient sur quelques souvenirs de l’Empereur. Accueilli avec bonhomie par ces vétérans, je vivais l’Histoire en direct !

    Les temps changent, on n’arrête pas le progrès. De la « Salle d’Asile », le musée fut transporté, au cours des années 70, dans la grosse tour du Château où l’on pouvait le visiter jusqu’en mai 2012. Il a pris depuis une retraite provisoire avant restructuration. Pour l’heure, il attend son PSC dont l’histoire méritait d’être contée. Ce que nous avons fait.

CHARMOY-CITY : DÉCOUVREZ  OÙ A ABOUTI  LE PSC « NON ABOUTI » ! - du 15 juillet 2017

    Les hommes écrivent l’histoire, mais les objets d’un musée en parlent de façon concrète et irremplaçable.

      Témoin cette lettre, que nous publions aujourd’hui, et que nous qualifierons poliment de surprenante ! Elle mériterait bien de figurer dans les annales du futur musée !  C’est pourquoi, son heureuse destinataire, une retraitée, ex-responsable dudit musée, vient de nous en  confier la publication

Précisons qu’au cours des dernières années de sa carrière, cette personne s’est impliquée sans compter pour le musée.  À partir de 2012, elle entame le travail de documentation autour du PSC et la rédaction de celui-ci. Parallèlement elle assure la mise en ligne sur Joconde de l’inventaire des collections, condition indispensable pour conserver le statut de Musée de France.

BLOG JOCONDE

     Dans le même but,  elle remplit l’obligation de récolement décennal. Pour finir, après une infestation inopinée du musée par les moisissures, elle doit intervenir au cours du premier semestre 2014 dans la décontamination  des collections, puis leur transfert. Fin de carrière, pour le moins mouvementée  avant une mise à la retraite intervenue le 3 août 2014. 

       Revenons maintenant au petit musée de la « Salle d’Asile ». Ce musée, gardé par de paisibles retraités veillant sur quelques souvenirs de l’Empereur a marqué l’enfant que je fus d’une profonde impression.

       Je me souviens encore aujourd’hui du nom du  plus ancien de ces retraités que j’aie connu, Monsieur Raymond Badaroux. Le petit musée de la « Salle d’Asile » ayant été agrandi sur place,  la mémoire de Monsieur Raymond Badaroux  fut honorée et l’une des deux salles créées porta son nom.

    Retraités et musée faisaient alors bon ménage, les vétérans contribuaient à la découverte du passé par  les enfants.

    Aujourd’hui « l’intergénérationel » n’a jamais été autant invoqué ! Dans les discours et les revues sur papier glacé ! Il semble pourtant que les temps aient bien changé !

   En attendant Claudi a vu grand aujourd’hui ! Il nous emmène dans la galerie du Louvre à la rencontre de Vivant Denon (1747-1825) le génial muséologue, père du Louvre, né à Chalon, sur les rives de la Saône.

      Explication de l’illustration : Automne 1812, Vivant Denon a enfin bouclé son génial PSC. Il ignore encore que l’Empereur vient de quitter Moscou incendiée,  et qu’il est en retraite…

    Sale temps, car chacun sait maintenant que PSC et retraite ne font pas bon ménage !

    Une nouvelle pièce à verser à la geste napoléonienne et muséographique locale !

Charmoy-City, la muséologie revisitée

Charmoy-City, la muséologie revisitée

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 15 juillet 2017 (J+3132 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Documents
11 juillet 2017 2 11 /07 /juillet /2017 07:15

CHARMOY-CITY : DÉCOUVREZ  OÙ A ABOUTI  LE PSC « NON ABOUTI » ! - du 11 juillet 2017 (J+3128 après le vote négatif fondateur)

    Mais qui sait d’abord au juste, dans notre bonne cité, ce qu’est un PSC ?

    Une chose est sûre, ce n’est pas un nouveau parti ! Le PSC, ce n’est pas la synthèse mitterrandienne du PS et du PC débouchant sur le programme commun de la gauche ! Tout ça, c’est du passé !

     D’ailleurs, la gauche et la droite pour les constructivistes sensés, tout ça c’est aussi du passé ! Ils ont le cœur à gauche et le portefeuille à droite, du coup ils ne savent plus de quel côté se tourner, alors ils tournent en rond autour de leur nombril croyant se mettre en marche, ou alors, ils font le grand ménage à tous les étages !

     Mais trêve de politique ! De la politique, les Français en ont marre. Ils préfèrent se marrer ! C’est du ludique et du festif qu’il leur faut ! La conscience politique de nos concitoyens se construit à la buvette, n’allez surtout pas leur parler de comité central, parlez leur plutôt de comité des fêtes ! Faut qu’ça mousse !

     Alors le PSC, compris, c’est pas le moment de leur en parler ! Un Projet Scientifique et Culturel, en ces temps, ce n’est pas vraiment le bon plan ! On pense à d’autres plans ! C’est qu’il faut d’abord prendre du bon temps et profiter du beau temps, à la buvette ! Faut qu’ça mousse !

AVEC KOPABANA-CLUB, VOS NUITS SERONT PLUS BELLES À DÉCIBELS-SUR-SAÔNE du 07 juillet 2017

    Du coup, si l’on en croit le Compte rendu sommaire du Conseil municipal du 23 mai dernier  (p.23 dernier alinéa) : « Le Projet Scientifique et Culturel (PSC) imposé par le statut de Musée de France préalablement à la rénovation du musée n’est pas abouti ».

    Dans sa sécheresse, cette appréciation négative et lapidaire ne risque pas d’en apprendre beaucoup plus à nos concitoyens sur ce qu’est un PSC.

    Oserions-nous dire que nombre de conseillers, eux-mêmes, en savent probablement beaucoup plus sur le PSF (Plan de Soirées Festives) que sur le PSC dont ils ne peuvent pourtant ignorer l’existence puisqu’il est mentionné dans la  délibération 2017-67 à laquelle ils ont pris part, investis de leurs fonctions électives.

    Sans parti pris, saluons néanmoins  en passant la récente publication de « Auxonne territoire d’Avenir » qui contribue à l’information de nos concitoyens sur le PSC.

https://www.facebook.com/Auxonne.territoire.d.avenir/?hc_ref=SEARCH

   Pour ceux et celles qui voudraient en savoir encore plus, signalons qu’une source autorisée a adressé, fin juin, à propos de ce PSC « non abouti », une lettre ouverte circonstanciée à nos élus. Cette lettre ouverte est restée jusqu’à ce jour (11 juillet) sans réponse. Son auteur nous en autorise aujourd’hui la diffusion.

Pour lire La LETTRE OUVERTE au Maire d'AUXONNE et à son Conseil municipal

CLIQUER CI-DESSOUS

    Les citoyens soucieux de s’informer des causes effectives d’un prétendu  non aboutissement du PSC, et de son aboutissement final en juin 2016 dans les archives  d’un huissier pourront utilement en prendre connaissance. Pour reprendre un titre inspiré du Bien public d’hier 10 juillet, la lecture de cette lettre ne devrait pas manquer de projeter quelques « rayons de soleil sur le marché nocturne » du PSC !

   Bécanine et Vittoriu, notre sympathique tandem toujours en recherche, pourront peut-être y voir une lueur d’espoir en ce qui concerne leur rêve de voir bientôt, non pas VESOUL, mais le prestigieux bicorne !

LE TOUR DES TOURS DE BÉCANINE - du 24 Août 2016

    En ce qui concerne maintenant le PSF (Plan de Soirées Festives), pas de souci, ça baigne et ça mousse ! L’information est pléthorique !

Charmoy-City, le PSC du Musée, tenants et aboutissants

Charmoy-City, le PSC du Musée, tenants et aboutissants

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 11 juillet 2017 (J+3128 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Documents