MARCHE NUPTIALE AU CHARMOY - du 10 décembre 2016 (J+2915 après le vote négatif fondateur)
Une semaine, jour pour jour, avant le huitième anniversaire du fameux vote du 17 décembre 2008 paraît aujourd’hui un long article dans Le Bien Public. Son titre : « AUXONNE VIE ÉCONOMIQUE Charmoy : la décision se fera au tribunal administratif »
Le rédacteur de ce long article y fait intervenir trois parties. De ces trois parties, deux sont impliquées directement dans une affaire de préemption. La troisième, très liée à l’une des deux premières, dont elle a loué et remercié dans le passé la « collaboration » et la « discrétion », n’est pas nommément impliquée dans l’affaire de préemption, mais elle contrôle néanmoins de facto les accès aux terrains concernés.
La complexité des tenants et des aboutissants de l’affaire mérite bien entendu une analyse très détaillée. Aujourd’hui, en réaction à cet article qui est le bienvenu, mais dont certains points méritent tout de même d’être éclaircis, nous proposons à nos lecteurs une relecture susceptible de les éclairer sur la nature et le statut de « la voie privée de Leclerc » évoquée dans l’article :
UNE HISTOIRE POUR LA RUE DU CHARMOY (2) - du 31 Août 2016
UNE HISTOIRE POUR LA RUE DU CHARMOY (4) - du 16 septembre 2016
CHARMOY : QUI BLOQUE ET QUI DÉBLOQUE ? - du 29 Septembre 2016
Dans l’article cité plus haut, notre premier édile déclare : « Je ne suis pas marié avec Leclerc ». Pas marié sans doute, au sens de passer devant Monsieur le Maire, mais ce qui est bien clair, c’est que Monsieur le Maire est passé discrètement par derrière et a toujours apporté de l’eau au moulin de Leclerc.
Claudi fantasme aujourd’hui sur l’hyper-hyménée : voyage de noces à Vesoul et au menu, truite meunière !
C.S. Rédacteur de Chantecler,
Auxonne, le 10 décembre 2016 (J+2915 après le vote négatif fondateur)
Publié dans Revue de presse