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24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 00:00

BOUCLARD  EN SOLDE À LA CNAC – du 24 janvier 2012

 

     Hier et pour la troisième fois depuis le 19 janvier dernier (voir notre article « Plus vert, tu meurs » sur ce site), Le Bien public annonçait à nouveau, sous la plume du jeune et malicieux Sylvain Clément, l’accord de la CNAC concernant le projet Leclerc.

     Reconnaissons au rédacteur le talent d’avoir su donner à l’article le ton suffisamment ennuyeux qui convenait à cette vieille affaire décrochée à l’usure et pour ainsi dire en solde. Avouons-le, le projet Leclerc ne passionne plus,  et il passionnera de moins en moins, bientôt il ne passionnera plus que l’hyperconsortium Leclerc-Vesoul-Lure-(Auxonne), le seul gagnant de l’affaire ! Les gens ont d’autres chats à fouetter que d’applaudir à la prospérité et à la bonne fortune de Monsieur Prunier, l’un des magnats de la Haute-Saône de Joyandet !

      L’article est intitulé « Le feuilleton Leclerc continue ». Ce « feuilleton », on n’a pas franchement envie d’en lire le prochain épisode, et pourtant il se prépare et chez nous Scapalsace s’active, croyez-m’en !  Apprendre enfin de Monsieur Langlois qu’  « Il faut bien évidemment que le centre-ville puisse continuer à vivre et à se développer », voilà une grâce césarienne le pouce en l’air qui ne mange pas de pain à son auteur et qui nous fait une belle jambe dans l’arène des luttes inégales. César gracie du haut de sa tribune quand, dans l’arène, Sylvain Clément écorche, involontairement peut être, les gladiateurs en rapportant leurs propos dans une langue pour le moins barbare. Selon l’article, Monsieur Poirson aurait en effet déclaré : « Il y a seulement quand je serais mort que là je m’avouerais vaincu [sic] ». Avouons qu’il faut oser de telles transcriptions. Si vraiment Monsieur Poirson a dit cela, nous le mettrons sur le compte de l’affront essuyé récemment à la CNAC.

     Une seule chose un peu neuve et réjouissante dans cet article, la franche déclaration de Catherine selon laquelle : « Cette soi-disant révolution commerciale n’est que foutaise ! ». Chère Catherine vous me consolez de vivre à Auxonne, permettez-moi de vous embrasser sur les deux joues !

      Et le ruisseau préservé au fait, et les contraintes architecturales ? Comme les chauves-souris, on n’en parle déjà plus. Pour réparer cette injustice, Chantecler vous en reparlera plus en détail très bientôt. Et là, je vous conseille bien de ne pas manquer la suite du feuilleton !

 

C. S. Rédacteur de Chantecler, 

à Auxonne le 24 janvier 2012

                                                                                                                

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Publié par C.S., Auxonnais - dans Revue de presse