AUXONNE, CLAUDE PICHARD, LE RÉGIMENT ET VOUGEOT - du 20 mai 2024 (J+5632) après le vote négatif fondateur)
Cet article est dédié à feu mon père Guerino Giuseppe SPERANZA en ce jour, 108ième anniversaire de sa naissance.
Nous interrompons aujourd'hui, pour la reprendre plus tard, notre série « AUXONNE, 511 RT, LIBRES HOMMAGES D'UN ANCIEN »
Rappelons, que Claude Pichard n'arrive pas aujourd'hui comme un cheveu sur la soupe. Nos bons lecteurs auront bien compris, à la lecture de notre article précédent, que « déjà Claude Pichard perçait sous Bonaparte ».
AUXONNE, 511 RT, LIBRES HOMMAGES D'UN ANCIEN (3)- du 15 mai 2024
Bel alexandrin ! Pas vrai Victor ? Il ne lui manque pas un pied, comme il ne manqua pas un bouton de guêtre à l'armée de l'impérial neveu, pendant la guerre de 1870.
Trêve de plaisanterie ! Délaissons un instant Bonaparte, son Quartier et ses Cazernes et batifolons un peu, dans le texte fleuri de Claude Pichard, comme le « Sous-préfet aux champs » dans « son petit bois de chêne vert ».
Chose dite, chose faite !
À la page 11 de « Mon petit doigt me l'a dit ; Distractions de vieillesse » un régiment passant sur la route fait halte devant le Clos Vougeot.
Pourquoi ? Comment ?
Prêtons l'oreille aux propos espiègles de Claude Pichard, ce sympathique et désopilant vieillard
À la lecture de ce texte, un vieil ami me confiait que l'Histoire est un éternel recommencement et il m'en faisait la preuve que notre rédaction se fait un plaisir de partager avec ses distingués lecteurs.
Claudi à son tour, dans son image du jour, offre à nos lecteurs, et à Claude PICHARD une illustration inédite de son texte
C.S. Rédacteur de Chantecler,
Auxonne, le 20 mai 2024 (J+5632 après le vote négatif fondateur)
Publié dans Propos bourguignons