ÉPISODE N° 42 : LE LIEN PUDIQUE, MANCHETTE N°7 - du 11 janvier 2014 (J+1851 après le vote négatif fondateur)
Nous nous excusons auprès de nos lecteurs de la parution devenue très étalée de notre feuilleton. Ils pourront d’ailleurs retrouver facilement, dans la rubrique « Feuilleton », l’intégralité des 41 épisodes déjà publiés, et des archives correspondantes, et si ça leur chante, les relire avec profit. Nous attendons toujours le mécène, baron du discount ou Baron Thénard, qui couvrira les frais d’une édition papier. Qui sait ? Un jour, peut-être, verrons nous sortir les « Esquisses pour un Journal du Charmoy » des presses d’une imprimerie luronne ou de celles d’un grand quotidien local ?
En attendant, fêtons aujourd’hui, avec ce 42ème épisode, le premier anniversaire de notre série illustrée. Grand merci encore à Claudi Hoffnung, des mensuels Schnaps et Spitzbube, pour sa collaboration bénévole.
En prime aujourd’hui, notre poster du Premier Anniversaire. À conserver !
Attention ! Notre feuilleton n’est pas encore tout à fait terminé ! À suivre !
Revenons à présent à notre épisode du jour.
Le Berlinois Otto von der Zwiebel, grand lecteur de Goethe et concepteur de génie, à qui les Charmoysiens doivent la « toutoûte », nous a fait une confidence. Si son œuvre brille d’un tel éclat, c’est qu’il s’est souvenu, en la concevant, des dernières paroles de son grand inspirateur ; « Mehr Licht ! » (« Plus de lumière ! »), aurait en effet déclaré celui-ci avant de rendre l’âme. Après cet éclair de génie, notre ami Otto s’en est allé consulter les ingénieurs de Siemens qui n’ont pas fait les choses à moitié.
Tout comme, d’ailleurs, notre consoeur Cosette Aucoin-Dufeu qui prépare actuellement, en collaboration avec une consoeur japonaise de Fukushima une grande enquête sur le scandale des vierges lumineuses radioactives. Dans son article encore plus lumineux, notre consoeur Cosette Aucoin-Dufeu, dont les feuilles toujours passionnantes, ne sont heureusement pas vierges, bien que lumineuses, a su rendre compte avec brio de cette belle réussite.
N.D.L.R. : Cette œuvre étant de pure fiction, toute ressemblance avec des personnes existantes doit être considérée comme fortuite.
Il est néanmoins possible que l’auteur ait jugé bon de s’inspirer librement de certains faits réels en relation avec la zone du Charmoy.
C. S. Rédacteur de Chantecler,
Auxonne, le 11 janvier 2014 (J+1851 après le vote négatif fondateur)